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Title : | Paillasse ; arioso : me grimer… pauvre Paillasse [suivi de] V'la les croquants |
Composers and/or lyricists : | Leoncavallo, Ruggero ; Duhem, Émile |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Content type : | Opéra |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) long - Columbia Dictaphone |
Recording location : | Paris, France ou alentours |
Manufacturer, label : | [Marque ou fabricant non identifié] |
Instruments : | piano acc. |
Condition : | amateur |
Speed (rpm) : | 160 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe 78t Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2010-10-29 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Suivi de voix d'enfant, qui chante V'la les croauqnts à partir de 2'28'', enregistrement amateur |
Text or lyrics : | Paillasse ; Me grimer
Création : Jean de Reszke (le 26 novembre 1894 à Bordeaux)- Paroles : Eugène Crosti - Musique : Ruggero Leoncavallo- Éditeur : Choudens Une partition : M'habiller ! m'habiller ! Ah ! pauvre Canio ! Va donc, bête de somme Pourquoi ces pleurs, pourquoi ces cris, ce chagrin ? Bah ! es-tu donc un homme ? Vil baladin ! Pauvre Paillasse, va donc peindre ta face ! La foule attend ; à toi de l'égayer Lorsque Arlequin chez toi prendra la place Ris donc, Paillasse ! ris donc, ils ont payé ! Change en grimace Les sanglots de ton cœur, Qu'un mot cocasse Déguise ta fureur Ah ! ris donc, Paillasse ! Ris donc de tes malheurs ! Ris de tes pleurs, ris de tes propres douleurs ! - - - des variantes : Me grimer ! me grimer ! Quand mon cœur saigne ! Quand les sanglots m'étouffent ! Quand je suis fou ! Et pourtant, il le faut Bah ! suis-je donc un homme ? Ah ah ah ! Je suis Paillasse Pauvre Paillasse, va donc peindre ta face ! La foule attend ; à toi de l'égayer Lorsque Arlequin chez toi prendra la place Ris donc, Paillasse ! ris donc, ils ont payé ! Change en grimace Les sanglots de ton cœur, Qu'un mot cocasse Déguise ta douleur ! Ah ! ris donc, Paillasse ! Ris donc de tes malheurs ! Ris des sanglots qui te déchirent le cœur ! |
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