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Titre : | Conquête facile | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Delormel, Lucien ; Fragson, Harry | |||||
Interprète(s) : | Maréchal, André | |||||
Genre : | Café-concert | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : | ||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||||
Numéro de catalogue : | 2275 | |||||
État : | Exc, moisi | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 135 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||
Date du transfert : | 16-04-2021 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Contenu à tiroirs, sur l'air de nombreux titres connus ! Bon exemple de ce que chacun connaissait sans doute en 1900. Dépouiller. Cf. Art culinaire, ode au gramophone, muet mélomane, conquête facile, conversation musicale, un drame à Falaise, rondeau populaire (Dranem), un Monsieur bien renseigné, les refrains de l'amour | |||||
Texte du contenu : | Conquête facile
Paroles : Lucien Delormel - Musique : Del, Fragson - Editeur : Delormel, Paris (1898) Victor Lejal : Me promenant un jour le nez au vent Sur mon chemin j'aperçois une blonde Amoureus'ment je la lorgne en rêvant Que c'est peut-être une femme du monde (1) La belle tout aussitôt Me fait voir son museau En m' disant discrèt'ment : J' vous f'rai voir le restant (2) Est-c' qu'elle me fit monter un deuxième Un troisième, un cinquième ! (3) Une fois dans l' salon Elle m' dit tendrement : Mon homme qu'est dentiste Est chez un client Il arrache des dents, c'est un ramolli J' m'écrie : Je suis pas la même chose que lui (4) Pan ! pan ! pan ! Mais à la porte Voilà que l'on frappe à grands coups Une voix forte Résonne tout à coup C'est mon mari ! m' dit-elle En m' prenant par le cou (5) Mon cher trésor Prends garde Mon cher trésor Mon cher trésor (6) Ensuite elle m' dit d'un ton sec : Assieds-toi là, ouvre ton bec Car pour un client Il t' prendra sûr'ment Puis elle dit à son tyran : (7) C'est un jeune angliche Excessiv'ment riche Qui veut s' faire enl' ver Allright ! how ! very well Qui veut s' faire enl'ver Une dent d' sagesse Dépêche-toi, ça presse Et l' mari vite me dit : (8) Montrez-moi votre quenotte Votre toute petite quenotte J' vais vous extirper ça, oui-da Parce que c'est vous je n' vous prendrai qu' cent francs pour ça (9) Molaire si blanche et si chère Tu vas me quitter pour toujours (10) Adieu, molaire, adieu Et je pensais : Mon Dieu (11) Pour avoir la femme Quand on a de l'âme Afin de venir Avant tout faut savoir souffrir (12) Bref, il m' l'enlève, une, deux, trois Avec mon désespoir (13) Puis je partis Très abruti Avec ma dent Dans l' fond d' ma main Mais le lendemain j'appris soudain Que j'avais été dupe d'un malin (14) Et qu' la blonde femme du dentiste Allait chaque jour à la piste Chercher des clients Qui marchaient d' leurs cent francs (15) Quand je pense à l'amour depuis ce jour lointain Je me dis : Fallait-il, mon Dieu, que je sois daim ! (16) C'est une blonde Cruel émoi Qui par le monde S'est fichue d' moi Voilà pourquoi Sur ma foi Je garde une dent aux blondes (17) (1) sur un air non identifié (2) sur l'air de : C'est gentil d'être venu (3) sur l'air de : Les salons parisiens (4) sur un air non identifié (5) sur l'air de : Sérénade au pharmacien (6) sur l'air de : Carmen ; toréador, prends garde (7) sur un air non identifié (8) sur l'air de : La polka des Englishs (9) sur l'air de : La dernière gavotte (10) sur l'air de : La Favorite ; idole si douce et si chère (acte 1, sc 2) (11) sur un air non identifié (12) sur l'air de : Pour avoir la fille (13) sur l'air de La Favorite ; qu'il reste seul avec son déshonneur (acte 3 scène 8) (14) sur l'air de : La marche des vieux beaux (15) Sur l'air de : Le chauffeur d'automobile (16) sur un air non identifié (17) Sur l'air de : Les blondes ------------------------------- Maréchal : Me promenant un jour le nez au vent Sur mon chemin j'aperçois une blonde Amoureus'ment je la lorgne en rêvant Que c'est peut-être une femme du monde Je suis la petite Qui n'allait pas vite Sous son voile on n' voyait rien Aussi, j' m'écrie : Mon p'tit chien Laisse-moi, laisse-moi contempler ton visage Dans l'escalier, on n'y voyait pas clair-e Elle passe par devant, moi j' grimpe par derrière Elle me fit monter un deuxième Un troisième, un cinquième Une fois dans l' salon Elle m' dit tendrement : Mon homme qu'est dentiste Est chez un client Il arrache des dents, c'est un ramolli J' m'écrie : Je suis pas la même chose que lui Pan ! pan ! pan ! Mais à la porte Voilà que l'on frappe à grands coups Une voix forte Résonne tout à coup C'est mon mari ! m' dit-elle En m' prenant par le cou Ensuite elle m' dit d'un ton sec : Assieds-toi là, ouvre ton bec Car pour un client Il t' prendra sûr'ment Puis elle dit à son tyran : C'est un jeune angliche Excessiv'ment riche Qui veut s' faire enl' ver Allright ! how ! very well Qui veut s' faire enl'ver Une dent d' sagesse Dépêche-toi, ça presse Et l' mari vite me dit : Montrez-moi votre quenotte Votre toute petite quenotte J' vais vous extirper ça, oui-da Parce que c'est vous je n' vous prendrai qu' vingt francs pour ça Bref, il m' l'enlève, un, deux, trois Avec mon désespoir Puis je partis Très abruti Avec ma dent Dans l' fond d' ma main Mais le lendemain j'appris soudain Qu' j'avais été dupe d'un malin Et qu' la blonde femme du dentiste Allait chaque jour à la piste Chercher des clients Qui marchaient d' leurs vingt francs Quand je pense à l'amour depuis ce jour lointain Je me dis : Fallait-il, mon Dieu, que je sois daim ! C'est une blonde Cruel émoi Qui par le monde S'est fichue d' moi Voilà pourquoi Sur ma foi Je garde une dent aux blondes |
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