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Titre : | Tout près du moulin |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Goublier, Gustave |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1895-1900 |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
Vitesse (tours/minute) : | 100 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78 t sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 14-01-2013 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. |
Texte du contenu : | Tout près du moulin
Création : Anna Thibaud (1901 à l'Eldorado) - Paroles : Eugène Riffey, H. Guébée - Musique : Gustave Goublier - Éditeur : H. Barthélemy - Paris Tout près du moulin qui tourne ses ailes Jeanne trouva Pierre, un galant luron Qui dans le chemin cueillait des prunelles Le gars avisé offrit les plus belles [variante : Le gars fort malin offrit les plus belles] Offrit les plus belles Contre un doux baiser pris à Jeanneton Jeanne trouva Pierre un galant luron Tout près du moulin qui tourne ses ailes… Qui tourne ses ailes Tout près du moulin qui tourne ses ailes Ils parlaient si bas, les yeux dans les yeux Le regard humide et plein d’étincelles Que les vers luisants et les coccinelles Et les coccinelles Écoutaient monter leurs soupirs aux cieux ! Ils parlaient si bas, les yeux dans les yeux Tout près du moulin qui tourne ses ailes… Qui tourne ses ailes ! Tout près du moulin qui tourne ses ailes Pierre n’aima Jeanne, hélas ! qu’un seul jour ! Et les rossignols et les tourterelles N’osent plus chanter de chansons nouvelles De chansons nouvelles Mortes sont les fleurs ! mort aussi l’amour ! Pierre n’aima Jeanne, hélas ! qu’un seul jour Tout près du moulin qui tourne ses ailes… Qui tourne ses ailes ! |
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