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Titre : | Julie si tu voulais |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Ouvrard, Gaston ; Koger, Géo |
Interprète(s) : | Ouvrard, Gaston |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement électrique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Ultraphone |
Numéro de catalogue : | AP952 |
Numéro de matrice : | P76228 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 78,2 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Decca, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 27-05-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Timbre "Radio-comète, 137 rue Lafayette Paris" |
Texte du contenu : | Julie si tu voulais
On s’est connu comme dans les romances Je m’en souviens, c’était un soir d’été Elle passait — quelle coïncidence ! Moi, je passais justement d’l’autre côté On se croisa et ce fut la rencontre On se r’garda et ce fut le roman Comme il était près d’huit heures à ma montre J’lui murmurai alors bien tendrement : Julie, si tu voulais Je te donnerais mon cœur J’te donnerais ma candeur J’te donnerais ma douceur J’te donnerais mon honneur Et mon aspirateur Chérie Julie, si tu voulais Pour toi, immédiatement Je quitterais l’régiment Je quitterais mes parents Je quitterais mes enfants Je quitterais mes vêtements Ma mie Julie, si tu voulais Je te regarderais Je te courtiserais Je te câlinerais Je te bécoterais Et notre âme serait Ravie J’t’aurais et tu m’aurais On ferait des folies Des folies on ferait Si tu voulais, Julie Julie, si tu voulais Le cœur ému, j’lui dis : — J’m’appelle Auguste Elle me lança un p’tit coup d’œil câlin Mais elle louchait Et j’savais pas au juste Si c’était moi qu’elle r’gardait Ou l’voisin Soudain, elle prit la première rue à gauche Moi, j’pris son bras et sa taille en même temps Et le cerveau plein d’idées de débauche J’lui chuchotai tout bas d’un ton tentant : Julie, si tu voulais Tu serais tout à moi Je serais tout à toi En toi, moi, j’aurais foi Toi, t’aurais foi-t-en moi Chérie Julie, si tu voulais Ce serait l’idéal J’ai un cœur virginal Un petit capital Et le chauffage central Ma mie Julie, si tu voulais Le soir, sous l’abat-jour Je te ferais la cour J’te dépeindrais l’amour Avec tous ses détours Ses tours et ses retours Et l’on s’unirait pour La vie Dans l’extase, on vivrait On ferait des folies Des folies on ferait Si tu voulais, Julie Julie, si tu voulais Oui mais, la gueuse, elle n’était pas fidèle Deux jours plus tard, elle s’enfuit gaiement ah ! ah ! ah ! Et je n’ai plus comme souv’nir de ma belle Qu’un vieux portrait qui date de dix-neuf cent Parfois encor, je crois frôler sa lèvre Et bien des soirs, tout en rongeant mon frein Seul dans ma chambre avec trente-neuf de fièvre D’vant sa photo, je répète ce refrain : Julie, si tu voulais Vite, tu reviendrais On se retrouverait On se renlacerait Et l’on se raimerait Chérie Julie, si tu voulais Tu aurais mon pardon J’oublierais l’abandon Mais rapporte-moi donc Ton beau petit corps dont Tu m’avais fait le don Ma mie Julie, si tu voulais Tu as fui mais pourtant Vois-tu, je t’aime tant Que, malgré tant de temps Quant à toi, je t’attends Et que mon âme est en Folie Si tu me revenais On ferait des folies Des folies on ferait Si tu voulais, Julie Julie, si tu voulais Amants, méfiez-vous toujours Car vous pourriez souffrir d’amour ! |
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