Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
8153 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4359 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 5001 5051 5101 5151 5201 5251 5301 5351 5401 5451 5501 5551 5601 5651 5701 5751 5801 5851 5901 5951 6001 6051 6101 6151 6201 6251 6301 6351 6401 6451 6501 6551 6601 6651 6701 6751 6801 6851 6901 6951 7001 7051 7101 7151 7201 7251 7301 7351 7401 7451 7501 7551 7601 7651 7701 7751 7801 7851 7901 7951 8001 8051 8101 8151 8153 |
Titre : | Les employés d'administration |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Muller, Jules ; Delormel, Lucien ; Garnier, Léon |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | A78044 |
Numéro de matrice : | P.O.933 |
Date de l'enregistrement : | 1910 c. |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 73,7 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas, 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-05-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Sur les fonctionnaires. Voir aussi : Ceux qui casquent |
Texte du contenu : | Les employés d'administration
Création : Paulus - reprises : Ribet, Paul Lack, Charlus Paroles : Lucien Delormel, Léon Garnier - Musique : Jules Muller - Éditeur : Marcel Labbé, Paris (1890) Les employés les plus aimables Sont ceux de l'Administration. Ils sont polis, galants, affables J' viens d'en voir un échantillon Au bureau d' poste, rue des Minimes Je d'mande un timbre de dix centimes L'employé m'en donne deux d'un sou J' réclamais. I' m' dit tout à coup : Qué qu' vous avez à réclamer Savez donc pas compter ? Deux fois cinq dix, c'est bête comme tout 'spèce d'idiot, z'êtes donc fou ? C' 't un timbre de deux sous qu' vous vouliez Tenez, allez donc, vous l'avez - Oh ! oh ! oh ! je m' suis p't-être mal expliqué Excusez-moi, monsieur l'employé Je m' rends l'autre jour à la mairie Avec ma future sous mon bras Afin que l' maire nous marie Mais monsieur l' maire ne v'nait pas J' vois un employé qui sommeille J'attends patiemment qu'il s' réveille Monsieur, lui dis-je poliment Le maire nous oublie certain'ment - Mmm, dites donc, espèce de tête à clous De quel droit me réveillez-vous ? D'abord, soyez pas insolent Il m' semble que j' vous parle poliment, moi, hein V's êtes bien pressé d'être marié L' temps vous dure d'être cornufié ? - Hé, oh ! pardon d' vous avoir dérangé Excusez-moi, m'sieur l'employé J'étais dans l' tramway d' La Villette Une dame près d' moi t'nait un p'tit chien Soudain, l' cabot mouille la banquette Le conducteur ne voyait rien Lui montrant c' qui v'nait d' se produire Je lui dis avec un sourire : Je croyais qu' dans les omnibus Les animaux n'étaient pas r'çus - D'abord, je suis maître de mon tramway Je r'çois les bêtes si ça m' plaît C'est pas vous qui payez mes ch'vaux La preuve que j' prends les animaux C'est qu' j' vous ai r'çu vous l' premier Espèce de vieux moule à Gambier - Oh ! oh ! oh ! je r'grette mon importunité Excusez-moi, m'sieur l'employé Loin d'employer un tel système Moi qui vous parle en c' moment-ci J' suis employé du P.L.M. Mais je suis un homme très poli Aux voyageurs de première classe Montez, messieurs, dis-je avec grâce Aux s'condes classes, je crie : En wagon ! Montez tout d' suite, aïe donc, aïe donc ! Aux troisièmes classes, je dis furieux : Voulez-vous monter, hé, miteux ! De quoi ! qué qu' vous réclamez ? Des bouillottes ? des bancs rembourrés ? Ça, ça s' promet, ça s' donne jamais Allez, montez donc, hé, tas d' purées ! Moi, je suis poli, bien él'vé V'là c' que c'est qu'un bon employé |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |