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Titre : | Martha ; chanson du porter : mes chers amis |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Flotow, Friedrich von ; Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges |
Interprète(s) : | Delvoye, Jean |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Gramophone and Typewriter |
Numéro de catalogue : | GC-2-32850 |
Numéro de matrice : | 1896-f-1 |
Date de l'enregistrement : | 1903 |
Instruments : | piano acc. |
État : | rough start |
Vitesse (tours/minute) : | 76,8 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 22-02-2015 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Martha ; Chanson du porter
Paroles : Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges, Crevel de Charlemagne - Musique : Friedrich von Flotow - Éditeur : Philippe Maquet et Cie - Paris (1844) Jean Delvoye : Mes chers amis, pourriez-vous dire Ce qui sans cesse nous inspire Un si bouillant délire ? C'est le nectar limpide et clair À tous les cœurs bretons si cher Le doux, le pur, le frais porter Dont tout Anglais doit être fier Oui, eh ! vive la bière Et le houblon ! Rien sur la terre N'est aussi bon ! Non, non ! tralalala… De moi veut-on apprendre encore Ce qui du soir jusqu'à l'aurore Nous rend la voix sonore ? C'est le nectar dont la fraîcheur Soudain ranime notre cœur Et donne à tout joyeux buveur La voix terrible d'un boxeur Oui, eh ! vive la bière Et le houblon ! Non, sur la terre Rien n'est aussi bon ! Non, non ! tralalala… non, non ! --------------------- Georges Durand : Mes chers amis, pourriez-vous dire Ce qui sans cesse nous inspire Un si brûlant délire ? C'est le nectar limpide et clair À tous les cœurs bretons si cher Le doux, le pur, le frais porter Dont tout Anglais doit être fier Eh ! vive la bière Au fond du verre ! Au fond du verre Est le bonheur ! Lala lalalala… De moi veut-on apprendre encore Ce qui du soir jusqu'à l'aurore Nous rend la voix sonore ? C'est le nectar dont la fraîcheur Soudain ranime notre cœur En nous donnant, joyeux buveur La force et le bras d'un boxeur Eh ! vive la bière Au fond du verre ! Au fond du verre Est le bonheur ! Lala lalalala… |
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