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Titre : | Valse polissonne |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Vargues, Félicien ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Berliners' Gramophone |
Numéro de catalogue : | 32896 |
Inscriptions complémentaires : | 235 |
Date de l'enregistrement : | 1900-07-xx |
Instruments : | piano acc. |
État : | monté au début |
Vitesse (tours/minute) : | 77 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 28-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Valse polissonne
Création : Daubreuil (1894 à Ba-ta-clan) - reprises : Reschal, Maréchal Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Félicien Vargues - Éditeur : E. Meuriot (1894) Messieurs, on a chanté souvent L'amourette pure et candide Mais l'amour se modernisant Devient de moins en moins timide. Maintenant, pour changer de ton, Dédaignant l'idylle innocente, Vous chantez l'amour folichon Dont la cause est plus captivante. {Refrain :} Chantez donc, messieurs Les brûlants aveux Qui nous donnent l'ivresse, Chantez tour à tour Les propos d'amour Et les folles caresses, Chantez les baisers Doux et passionnés Qu'on reçoit et qu'on donne, Chantez les soupirs, Les troublants désirs, Chantez la valse polissonne, La valse polissonne. Sur le costume féminin, Vous avez fait des poésies, Une dentelle, un mouchoir fin Vous ont causé des griseries. Mais vous n'êtes jamais lassés, La marche en avant vous anime, Et maintenant vous vous lancez Dans ce qu'il y a de plus intime. {Refrain :} Chantez le corset Dont chaque lacet Vous attire et vous grise, Chantez nuit en jour, En gai troubadour, La jarr'tière et la ch'mise, Chantez égal'ment Le bas transparent Qui vous révolutionne, Chantez le jupon, Le p'tit pantalon, Chantez la valse polissonne, La valse polissonne. Jadis, vous étiez en gaîté Pour une cheville entrevue, Un modeste grain de beauté, Ça suffisait à votre vue ; Une taille admirée de près Vous satisfaisait assez vite ; Maintenant, après ces attraits, Vous demandez à voir la suite. {Refrain :} Chantez les frisons, Qu'ils soient bruns ou blonds Et qu'on trouve si drôles, Chantez en tout temps Les yeux provocants Et les blanches épaules, Chantez les mollets Fermes et bien faits Pour qui l'on se passionne, Chantez les bras ronds, Les jolis nichons, Chantez la valse polissonne, La valse polissonne. |
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