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Titre : | On ne peut pas quitter Paris |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Aris ; Gracey, Maurice ; Loysel, Jean |
Interprète(s) : | Mme René Pavan |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Ibled |
Numéro de double-face : | 2024 |
Numéro de catalogue : | 3863 |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 02-07-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Mme René Pavan, de l'Alhambra : Mme Paul Payan ? |
Texte du contenu : | On ne peut pas quitter Paris
Chanté par Marcelly, Mme Payan, M. Lien Jo - Paroles : Jean Loysel - Musique : Aris - Éditeur : Smyth, Paris (1925) Je connais un pays qui mieux que tous Sait captiver les âmes Un pays où les cœurs sages ou fous Cachent d’ardentes flammes Ville exquise et maudite au joli nom : Paris l’ensorceleuse C’est là qu’aux lumières nombreuses Viennent tomber les papillons Faisant un détour On y vient un jour C’est fini… on y reste toujours ! {Refrain :} On ne peut pas quitter Paris Car Paris a pour nous trop de charmes Paris, s’il fait verser des larmes Nous tient bien quand il nous a pris Et dans les pleurs, les chants, les cris Monte de la ville lumière Un chant doux comme une prière On ne peut pas quitter Paris Pour chasser vos ennuis, riches ou gueux Aigris dans la souffrance Les cent voix de Paris, flonflons joyeux Ont des rythmes de danses À quoi bon s’en aller, triste et lassé Chercher de par le monde L’oubli de la joyeuse ronde Paris n’est jamais le passé ! On croit d’un cœur lourd Partir sans retour Quelle erreur ! on y revient toujours {Refrain :} On ne peut pas quitter Paris Car Paris a pour nous trop de charmes Paris, s’il fait verser des larmes Nous tient bien quand il nous a pris Et l’exilé, le cœur meurtri Revient, dût-il y rendre l’âme… Paris prend visage de femme !... On ne peut pas quitter Paris |
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