Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
8361 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 5001 5051 5101 5151 5201 5251 5301 5351 5401 5451 5501 5551 5601 5651 5701 5751 5801 5851 5901 5951 6001 6051 6101 6151 6201 6251 6301 6351 6401 6451 6501 6551 6601 6651 6701 6751 6801 6851 6901 6951 7001 7014 7051 7101 7151 7201 7251 7301 7351 7401 7451 7501 7551 7601 7651 7701 7751 7801 7851 7901 7951 8001 8051 8101 8151 8201 8251 8301 8351 8361 |
Titre : | Les réponses imprévues |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Lemercier, Eugène |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 2100 |
Numéro de matrice : | 12911-PC |
Date de l'enregistrement : | 1907 |
Instruments : | chant homme , piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 91 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 18-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Les réponses imprévues
Paroles : Eugène Lemercier - Musique : Émile Spencer - Éditeur : Pathé frères (1905) Création : Eugène Lemercier Par une saison brûlante Un cactus était en fleurs Tous les cent ans, cette plante Fleurit durant les chaleurs Un jardinier, âme franche Lui disait en l'abreuvant : Tu peux fleurir, ma vielle branche Ça n' t'arrive pas si souvent Le cactus répondit : Je comprends qu' ça t'épate Car s'il faut cent années pour que ma fleur éclate Toi, pour te voir éclore, i' n' faut pas si longtemps Les boutons qu' t'as su' l' nez fleurissent tous les printemps Un candidat plein de grâce Disait dans une réunion : Si mon parti m'embarrasse Eh bien, j' chang'rai d'opinion S'il faut en croire les gazettes Lui dit quelqu'un en se l'vant Tu f'rais mieux d' changer d' chaussettes Ça n' t'arrive pas si souvent L' candidat répondit : Je souhaiterais que tu pusses Envelopper comme moi tes pieds de chaussettes russes Mais si tu les changeais deux ou trois fois par jour Ça n' les empêch'rait pas d' sentir le romadur Certain soir, un pique-assiette Disait à la fin d'un r'pas La bouche dans sa serviette : C'est drôle, mon dîner n' passe pas Ton dîner ? dit d'un air tendre L’amphitryon, bon vivant Ne t' gêne pas, tu peux me l' rendre Ça n' t'arrive pas si souvent L'invité répondit : Patientez, de grâce Avec de l'eau d' mélisse, i' s' peut qu' mon dîner passe Faites-moi dormir chez vous pour digérer c' festin Et si vous êtes pressés, j' vous l' rendrai d'main matin Sur le crâne d'un homme chauve J' colle un plat d' raie au beurre noir Puis, ne croyez pas qu' j' me sauve Non, je m' saisis d'un miroir Et dis au vieux qui tempête : Contemple-toi, t'es crevant Avec une raie sur la tête Ça n' t'arrive pas si souvent L'homme chauve répondit : À la fin, c'est une scie ! Va-t-on m' ficher la paix avec ma calvitie ? Je devrais être plaint et non pas être scié Vous n' savez donc pas c' que c'est un homme calvitié |
Recherche tout champ | Recherche avancée | Nouvelle recherche | Page d'accueil |