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Titre : | Sauce mayolaise, pot-pourri (2e partie), du film "Aux urnes citoyens" | ||
Interprète(s) : | Mayol, Félix | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement électrique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Parlophone | ||
Numéro de double-face : | 22925 | ||
Numéro de catalogue : | B138716 | ||
Inscriptions complémentaires : | Chatou M3-58141 | ||
Date de l'enregistrement : | 1932 | ||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 11-06-2010 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Pochette Parlophone | ||
Texte du contenu : | Sauce Mayolaise
Messieurs, dames, voulez-vous me permettre Si drôle que cela puisse vous paraître De vous dire que ces r'frains qu' vous trouvez si joyeux Et que vous m' réclamez sont peut-être un peu vieux Ces romances pimpantes que je chante Bien qu'elles aient eu le tort de vieillir D' les entendre encore D' les entendre encore Ça vous fait toujours plaisir Autrefois j'avais une cousine Je vous l'ai d'ailleurs, je crois Chanté tant d' fois Que vous d'vez maint'nant, j'imagine La connaître tous, ma foi Aussi bien qu' moi La semaine passée Je n' l'avais pas vue d'puis vingt années Elle me dit, pâmée "Je suis libre, maintenant je suis à toi Cousin, tu dois être en émoi" J' lui réponds "Y a vraiment pas d' quoi" Cousine, cousine Faudrait pas que ça t' chagrine Cousine, cousine Tu devrais prendre une médecine Oui, je sais bien, dans le temps je t'ai dit "Je suis là, té, j'attends mais, vois-tu…" Cousine, cousine Je crois qu' j'ai trop attendu Avec des gestes nerveux E' m' passe la main dans les ch'veux Ses doigts s' faufilent Et m' déshabillent Pour m' chatouiller Y avait rien d' fait Et moi, je pensais tout bas "Comme l'on change ici-bas Autrefois, dame ! Sa main de femme M'a rendu fou Maint'nant j' m'en fous" J'ai rencontré la fifille à sa mère Ses tas d'enfants Trois par devant Cinq autres par derrière Elle donnait l' bras à son crétin d' mari Un brave garçon qu'a bien vieilli Vous l' connaissez aussi Il s'app'lait Bou-dou-ba-da-bouh Il jouait d' la flûte en acajou Sur son instrument Fallait voir comment Il savait boucher les trous Mais depuis qu'il l'a épousée Faut croire que sa flûte est usée Son jeu est très mou Sa femme dit partout Qu'il ne bouche plus rien du tout {Parlé :} Ah, que voulez-vous, on vieillit et puis on grossit, n'est-ce pas, madame… Dans c' temps-là vous étiez mince Moi, j'avais l' torse élégant Je vous dis "Pour vous j'en pince" Vous m'en avez dit autant "Avec moi j' voudrais qu' tu vinsses La rue a des coins ombreux" Mais vous hésitiez Et vous me disiez "On peut nous voir tous les deux" Je vous dis d'un air câlin "Nous nous tiendrons cachés sous mon pépin Si tu veux venir, ô ma jolie Sous mon petit para, parapluie Nous ferons mille et mille folies Sous ce délicieux abri" Mais maint'nant pour nous cacher d' la foule Comme tous deux nous avons épaissi Il faudrait au moins, ma grosse poupoule Il faudrait trois parapluies {Parlé :} Ah la la, et puis c'est trop fatigant Il faut être un p'tit jeune homme Pour suivre un petit trottin Sans ça, vite on s’époumone Et l'on vous plaque en chemin {Parlé :} Oh, mais moi je connais le remède. Vous avez lu dans le journal ? À la quatrième page, la réclame : La souris de l'abbé Jouvence… La…La jouvence de l'abbé Soury Tout le long, le long d' l'abbé Soury Je m' disais "Comme on rajeunit Quand on prend cette jouvence Oui, on retombe en enfance" {Parlé :} Mais moi, j'ai pas besoin de ça, je vais tout simplement là-bas… Dans mon pays, dans mon pays Quand j'en reviens, je suis ravi Oui, mes refrains en sont bien plus jolis Eh oui, mes amis, je vous le dis Dans mon pays, dans mon pays Non, jamais on ne vieillit {Parlé :} Ah ah ! Ah, tu parles… je joue à la toupie et au cerceau, là-bas. Lorsque je chante Sur tous les tons Chansons touchantes Ou gais flonflons La vie me paraît souriante Lorsque je chante |
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