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12798 résultats trouvés
Titre : | Le vieux célibataire | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Mouret ; Béranger, Pierre-Jean de | |||||
Interprète(s) : | Maréchal, André | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : | ||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||||
Numéro de catalogue : | 3434 | |||||
Numéro de matrice : | 21385 | |||||
État : | Exc+ | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||
Date du transfert : | 31-03-2015 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Mention sur la boîte : 'Chansons des soirées classiques de l'Eden concert et de l'Eldorado' | |||||
Texte du contenu : | Le vieux célibataire
Création et paroles :Pierre-Jean de Béranger - Musique : Mouret, harmonisation Maurice Duhamel -- Éditions Maurice Sénart et Cie, Paris Allons, Babet, il est bientôt dix heures ; Pour un goutteux c'est l'instant du repos. Depuis un an qu'avec moi tu demeures, Jamais, je crois, je ne fus si dispos. À mon coucher, ton aimable présence Pour ton bonheur ne sera pas sans fruit. Allons, Babet, un peu de complaisance, Un lait de poule et mon bonnet de nuit. N'expose plus à des travaux pénibles Cette main douce et ce teint des plus frais ; Auprès de moi coule des jours paisibles ; Que mille atours relèvent tes attraits. L'Amour par eux m'a rendu ma puissance : Ne vois-tu pas son flambeau qui me luit ? Viens donc, Babet, un peu de complaisance, Un lait de poule et mon bonnet de nuit. À mes désirs, quoi ! Babet se refuse ! Mademoiselle, auriez-vous un amant ? De mon neveu le jockey vous amuse ; Mais songez-y ; je fais mon testament. Docile enfin, livre sans résistance À mes baisers ce sein qui m'a séduit. Allons, Babet, un peu de complaisance, Un lait de poule et mon bonnet de nuit. Ah ! tu te rends, tu cèdes à ma flamme ! Mais la nature, hélas ! trahit mon cœur. Ne pleure point ; va, tu seras ma femme, Malgré mon âge et le public moqueur. Fais donc si bien que ta douce influence Rende à mes sens la chaleur qui me fuit. Allons, Babet, un peu de complaisance, Un lait de poule et mon bonnet de nuit. |
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