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Titre : | La folie de Jean-Pierre |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Jacques, Georges ; Aliot, Maurice |
Interprète(s) : | Bérard, Adolphe |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odéon |
Numéro de catalogue : | Sp1430 |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5.5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 28-05-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coquille sur l'étiquette qui nomme l'auteur Jacques Georges au lieu de Georges Jacques. |
Texte du contenu : | La folie de Jean-Pierre
Création : Bérard (1926) - reprises : Nicolo, Wolff, Ducar, Mariau, Surbert, Druna, Valdonne, Renef, Léo Darcy, Paul Denis, Braimonval, Berthol, Castillon Paroles : Maurice Aliot - Musique : Georges Jacques - Éditeur : Franceskides - Paris (1926) La partition : Récit : Un soir, au cabaret avec le fou Jean-Pierre Tous les deux dans un coin nous nous étions assis Ce pauvre détraqué tout en vidant son verre Les larmes dans les yeux… il me fit ce récit… Quand j'ai connu ma Lison si jolie J'avais vingt ans, amoureux fortuné Cette maîtresse était toute ma vie Car je l'aimais d'un amour passionné C'était pour moi la femme la plus belle Ses jolis yeux pénétraient dans mon cœur Je ressentais, quand j'étais auprès d'elle Dans tout mon être comme un baume enchanteur Et, dans ses bras, comme un enfant (note : Bérard chante : dans mes bras) Elle me berçait tendrement {Refrain :} Grisé par ses baisers brûlants J’ai connu toutes les ivresses Sous le charme de ses caresses Si chères à tous les amants Mais la jalousie en mon cœur Sans cesse torturait mon âme Prêt à tuer pour cette femme Celui qui briserait mon bonheur Je lui donnais mon nom et ma fortune Puis les années passaient lorsqu'une nuit Je l'aperçus soudain au clair de lune Au bras d'un homme, alors je la suivis Quand je la vis souriante et jolie Donner ses lèvres, aussitôt dans mon cœur Se réveilla ma juste jalousie L’âme brisée de honte… et de rancœur Cet inconnu sans un remords Me volait mon plus cher trésor {Refrain :} Désespéré… et tout meurtri J’ai senti comme une blessure En voyant la femme parjure Ainsi que mon bonheur détruit J’ai vu rouge autour de moi Et j’ai ressenti dans ma tête Une épouvantable tempête Et puis je ne sais plus, ma foi Je suis resté… abattu… sans courage Deux grosses larmes coulèrent lentement J’aurais voulu pardonner la volage Mais la voyant dans les bras d’un amant Fou de douleur qu'un autre prît ma place Oui, j'ai tiré sur eux au même instant J'ai vu Lison tomber comme une masse J'avais tué celle que j'aimais tant Mais une voix dans le lointain Semblait me crier… assassin ! {Refrain :} Depuis ce temps, voilà pourquoi Tout se détraque dans ma cervelle Lorsque je songe à l’infidèle Pour oublier… alors… je bois Puis quand je n’ai plus ma raison La vie me paraît moins amère Je revois au fond de mon verre Les jolis yeux de ma Lison… |
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