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Titre : | Délaissée |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Borel-Clerc, Charles ; Alphand, Charles |
Interprète(s) : | Lekain, Esther |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | 36388 |
Numéro de matrice : | xP2125 |
Date de l'enregistrement : | 1905-1906 |
Instruments : | chant femme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 66 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,0ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6k, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 15-02-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Délaissée
Paroles : Charles Alphand - Musique : Charles Borel-Clerc - Éditeur : G. Ricordi, Paris [1902] -------------------------------- Version chantée par Jeanne Allems : -------------------------------- J'étais petit trottin Qui, du soir au matin Avec un air mutin Trottine dans la rue Puis un jour tu m'as dit : Je serai votre ami Je t'ai répondu oui Et je suis accourue Tu m'as dit de ces mots qui vous grisent Qui vous brisent et qui font qu'on s'en va Et puis tout doucement tu m'as prise Et voilà comment tout arriva Tu séchas mes yeux d'une caresse Un baiser endormit ma tristesse Mon Dieu ! nous avons fait les fous Au premier rendez-vous Puis j'ai vu ton amour Diminuer chaque jour Mais je voulais toujours Te cacher mes alarmes Tu venais moins souvent Tu restais moins longtemps Mais tu partais content Et je versais des larmes Tu disais de ces mots qui vous grisent Qui vous brisent et qui font qu'on s'en va Tu les disais de ta voix exquise Mais hélas ! tu ne les pensais pas C'était du bonheur de les entendre Mais c'était folie que de prétendre Demeurer aussi follement fous Qu'au premier rendez-vous Sans avoir prévenu Tu n'es plus revenu Je t'avais attendu Longtemps, très longtemps même Puis, tu sais, malgré tout J'ai senti tout à coup Dans mon cœur un grand coup C'est bête quand on aime J'étais faite aux mots qui vous enivrent Qui vous brisent et qui font qu'on s'en va Et voilà, tout d'un coup tu m'as prise J'aurais pas cru t'aimer tant que ça Un moment, la secousse fut forte Et puis, tu vois, je n'en suis pas morte Ah, mon Dieu ! ne d'vient-on pas fou Au dernier rendez-vous ? --------------------------------- Version chantée par Esther Lekain : --------------------------------- J'étais petit trottin Qui, du soir au matin Avec un air mutin Trottine dans la rue Puis un jour tu m'as dit : Je serai votre ami Je t'ai répondu oui Et je suis accourue Tu m'as dit de ces mots qui vous grisent Qui vous brisent et qui font qu'on s'en va Et puis tout doucement tu m'as prise Et voilà comment tout arriva Tu séchas mes yeux d'une caresse Un baiser endormit ma tristesse Mon Dieu ! nous avons fait les fous Au premier rendez-vous Tu n'es plus revenu Sans avoir prévenu Je t'avais attendu Longtemps, très longtemps même Et, tu sais, malgré tout J'ai senti tout à coup Dans mon cœur un grand coup C'est bête quand on aime J'étais faite aux mots qui vous enivrent Qui vous brisent et qui font qu'on s'en va Et voilà, tout d'un coup tu m'as prise Je croyais pas t'aimer tant que ça On sait bien qu'il faudra qu'on se quitte Mais quand on voit que ça vient si vite On sent que tout se brise en vous Au dernier rendez-vous |
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