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L'arioso du Roi de Lahore chanté par le célèbre baryton Faure du grand opéra d' Paris, Edison record :
Des troupes du Sultan qui menaçaient Lahore, la royale cité...
Pensez ! voyons, c' 't une blague, ça ! C'est Jobert qui vous fait une blague, c'est pas Faure du tout !
Écoutez plutôt Paulus, le célèbre chanteur populaire. À vous, monsieur Paulus !
Y a des gens qui passent leur vie
À courir après l' merle blanc
Croyant, dans leur douce folie
Qu'il existe réellement
Mais des femmes charmantes, adorables
C'est comme des portiers convenables
Y en a pas
Y en a pas
Ou, si y en a, y en a guère
Et tout cas
Si y en a
Si y en a, y en a pas des tas
Y en a pas
Y en a pas
Ou, si y en a, y en a guère
Et tout cas
Si y en a
Si y en a, y en a pas des tas
Maint'nant, mesdames et messieurs, vous allez entendre le célèbre Alvarez du grand Opéra d' Paris.
Annie Moore, sweet Annie Moore,
And we'll never see sweet Annie any more
She sailed away one summer's day,
And we'll never see sweet Annie any more *
(Bravo, bravo, bis,…)
Merci de vos applaudissements qui sont sincères. Dans cinq minutes, nous recommençons une autre représentation. Le prix des places est à cinquante centimes. Oui, on paie en sortant
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* Sweet Annie Moore (Any more) waltz song by John H.Flynn, as sung by Jas. E; Sullivan, in Geo. W. Lederer's "The Casino Girl"