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Titre : | Un voyage à Dijon |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Halet, Laurent ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2759 |
Numéro de catalogue : | 766 |
Numéro de matrice : | 84652-ER |
Inscriptions complémentaires : | 12-8-12 |
Date de l'enregistrement : | 1911-1912 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 29-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Train, chemin de fer. À chaque arrêt, le personnage ne comprend pas les annonces en gare, annonces inaudibles comme souvent... Par ailleurs, l'annonce introductive par Charlus, ainsi que les premières mesures de musique, sont manquantes. |
Texte du contenu : | Un voyage à Dijon
Création : Dufleuve - reprises : Danvers, Deguerre, Denayran, Charlus Paroles : Bouchaud dit Dufleuve - Musique : Laurent Halet - Éditeur : en dépôt À la Chanson moderne - Paris Hier, je prends l' train gare de Lyon Le cœur joyeux, la mine gaillarde Pour voir mon cousin à Dijon Un gros fabricant de moutarde Le train roulait depuis longtemps Quand tout d'un coup v'là qu'il s'arrête Un employé à cet instant Sur le quai criait à tue-tête : …yageurs… outouron… inutar ! Je m' dis : C'est la première station Dont on annonce ainsi le nom Dijon est encor loin d'ici Puisque nous v'nons d' quitter Paris Le train repart presque aussitôt Je pensais : Quel joli voyage ! On voyait des arbres, des coteaux Sous de ravissants paysages Soudain j'aperçois des maisons J' dis : C'est encor une gare sans doute Cette fois, faut que j' fasse attention Le train s'arrête, alors j'écoute : …yageurs… ouron… sirac… iyac… hi… aïe… fret… en voiture ! Je m' dis : C'est un nouveau pat'lin Dont j' connais pas l' nom, c'est certain Mais je n' descendrai d' mon wagon Que lorsqu'on annonc'ra Dijon Une minute après, quel bonheur ! Le train repart à toute vitesse C'est vraiment joli, la vapeur Qui fait qu'on traverse plein d'ivresse Un tas d' pays en un rien d' temps C'est épatant d' voir comme on file Mais le train s'arrête subit'ment Nous sommes dans la gare d'une grande ville …oyageurs pour danpi… ouille hic hac ou aie hi hu hi hi ta ré bu hééé En r'gardant ma montre, je m' dis : Voilà huit heures que j' suis parti Je n' dois pas être bien loin d' Dijon Ce s'ra pour la prochaine station Pendant un grand quart d'heure j'attends Je commençais à perdre patience Enfin l' train s' remet en mouv'ment Et parcourt une très grande distance Aussi rapide que le vent Je m' dis : Si nous marchons d' la sorte J' s'rai à Dijon dans un instant Quand l'employé crie d'une voix forte : Voyageurs pour Épipiganpignanhigna hi ho né pechanch e train ! Je dis à mon voisin : Pardon Est-c' que nous sommes bien loin d' Dijon ? Il me répond en rigolant : Y a trois heures qu'on est passé d'vant Je descends du train comme un fou Au chef de gare je conte l'affaire I' m' répond : C'est simple comme tout Repartez vite en sens contraire J' prends un train qui file sur Dijon J' reste dedans une journée entière J' prêtais l'oreille à chaque station Quand soudain j'entends d'une voix claire : Paris ! tout l' monde descend ! Enfin bref, j'ai pas vu Dijon Mais j'ai fait trente heures de wagon J' suis moulu, j'ai la gueule de bois J'aurais mieux fait d' rester chez moi ! |
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