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Titre : | Le chemineau, scène dernière |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Leroux, Xavier ; Richepin, Jean |
Interprète(s) : | Duparc |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Inter (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 2790 |
Numéro de matrice : | 10774 |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | moisi, 2 rayures |
Vitesse (tours/minute) : | 155 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone - Nécessite montage aux 2 rayures (index 37 et 38) |
Date du transfert : | 06-12-1998 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. Maison de la radio, discothèque centrale. |
Texte du contenu : | Le chemineau ; scène dernière
Création : Hector Dufranne (1907 à l'Opéra-Comique) - Paroles : Jean Richepin - Musique : Xavier Leroux - Éditeur : Eugène Fasquel, Paris (1907) Ah ! bon Noël à toi surtout, qui vas t'éteindre. Et tu l'auras, ton bon Noël ! Car c'est d'atteindre La fin de tes longs jours vécus en travaillant, Et de l'atteindre ainsi, brave homme au cœur vaillant. Sa respiration est calme. Point de fièvre ! Ils reviendront à temps pour cueillir sur sa lèvre Et son dernier baiser et son dernier soupir. Il ne semblera pas mourir mais s'assoupir Doucement, dans les bras des êtres chers qu'il aime. C'est la fin qu'il mérite et le paiement suprême D'avoir usé sa vie à soutenir la leur L'ai-je gagnée, moi ? Non, je serais un voleur De mourir ainsi !… Moi, je suis un grenipille, Un vagabond, hors-la-loi, hors-la-famille, Un qui, dans ses haillons de gueux, pour tout linceul Saura partir ainsi qu'il partit, toujours seul Sans parents, sans amis, sans rien, sans qu'il redoute De mourir comme il a vécu, sur la grand' route. Voici la cloche ! On sort de l'église. Adieu, vieux ! Tes aimés vont venir pour te fermer les yeux. Je les aime aussi, moi !… Mon gars !… Pauvre Toinette ! Partir sans leur dire adieu ? Ho ! Mais si je m'arrête Si je les revois, je… je ne partirais pas ! Je dois partir. Adieu, Toinette !… Adieu, mon gars ! Ah ! qu'à leur souvenir tout mon cœur s'illumine ! Et toi, suis ton destin. Va, chemineau, chemine ! |
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