Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
5068 résultats trouvés
1 51 101 151 201 217 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 5001 5051 5068 |
Titre : | Amoureux sauvetage |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis |
Interprète(s) : | Mayol, Félix |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 21 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2304 |
Numéro de catalogue : | 4046 |
Numéro de matrice : | 4046-R |
Inscriptions complémentaires : | 54 |
État : | montage |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 01-10-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Deux suicidaires se rencontrent dans la Seine et tombent amoureux. Suicide, rencontre, amour, grivois |
Texte du contenu : | Amoureux sauvetage
Création : Mayol (1908) - reprises : Fréhel (1908), Paul Lack (1909), Jean Péheu (1909), Paul Dalbret (1909), Charlus Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Mayol Version Mayol : C'était un jeune homme très amoureux Mais qui n'était pas heureux Et pour y noyer sa peine Il alla s' fiche dans la Seine Mais voilà qu'au même instant, il vit Une femme qui faisait comme lui Et pour sauver la d'moiselle Il s' mit à nager vers elle Elle lui dit "Monsieur, c'est égal Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle Qui le saisit par le cou Ils allaient s' noyer sur place L' jeune homme dit en s'enfonçant "Pour une fois qu'une femme m'enlace J'ai pas d' veine, assurément !" Heureus'ment pour eux qu'il arriva Un bateau qui les sauva Aussitôt, on déshabille Le jeune homme et la jeune fille Ils étaient tous deux complèt'ment nus Comme deux petits Jésus Et quand enfin la d'moiselle Finit par r'venir à elle En s' voyant comme ça, elle lui dit "Excusez-moi de m' montrer ainsi" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En rougissant malgré tout Car, la voyant si jolie Avec ses grands yeux si doux, L' jeune homme n'avait plus envie Maint'nant de mourir du tout Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez De ne pas recommencer !" Prenant le bras de la belle Il la ramena chez elle Et comme il venait la voir chaque jour N'osant lui parler d'amour Ce fut la jeune fille elle-même Qui lui dit tout bas "J' vous aime" Puis elle ajouta "C'est égal Monsieur, vous allez m' juger bien mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En l'embrassant comme un fou V'là comment dans leur déveine La d'moiselle et son sauveur S'étant jetés dans la Seine Nagèrent enfin dans l' bonheur ! ------------- Version Jean Péheu : C'était un jeune homme très amoureux Mais qui n'était pas heureux Et pour y noyer sa peine Il alla s' fiche à la Seine Mais voilà qu'au même instant, il vit Une femme qui faisait comme lui Et pour sauver la d'moiselle Il s' mit à nager vers elle Elle lui dit "Monsieur, c'est égal Excusez-moi d' vous donner tant d' mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle Qui le saisit par le cou Ils allaient s' noyer sur place L' jeune homme dit en s'enfonçant "Pour une fois qu'une femme m'enlace J' n'ai pas d' chance assurément" Heureus'ment pour eux qu'il arriva Un bateau qui les sauva Aussitôt, on déshabille Le jeune homme et la jeune fille Ils étaient tous deux complèt'ment nus Comme deux petits Jésus Quand enfin la demoiselle Finit par rev'nir à elle En s' voyant comme ça, elle lui dit "Excusez-moi d' me montrer ainsi" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En rougissant malgré tout Car, la voyant si jolie Avec ses grands yeux si doux, L' jeune homme n'avait plus envie Maintenant d' mourir du tout Il lui dit "D'abord, faut qu' vous m' juriez De ne pas recommencer !" Prenant le bras de la belle Il la ramena chez elle Mais comme il venait la voir chaque jour Et n'osait parler d'amour Ce fut la jeune fille elle-même Qui lui dit un soir "J' vous aime" Puis elle ajouta "C'est égal Monsieur, vous allez m' juger bien mal !" "Y a pas d' mal à ça, mam'zelle, Moi, c'est la même chose que vous !" Dit l' jeune homme à la d'moiselle En l'embrassant comme un fou V'là comment dans leur déveine La d'moiselle et son sauveur S'étant jetés dans la Seine Nagèrent enfin dans l' bonheur ! |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |