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Titre : | Le départ du bleu |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Daniderff, Léo ; Mortreuil, Félix |
Interprète(s) : | Bérard, Adolphe |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Amberol |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de matrice : | 4M-17088 |
Date de l'enregistrement : | 1909 |
Instruments : | Orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2,7CT sur sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 7kHz |
Date du transfert : | 13-06-2016 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Existe plus tard en Blue Amberol, sous le numéro 27158. Voir http://www.phonobase.org/10901.html |
Texte du contenu : | Le départ du bleu
Paroles : Félix Mortreuil - Musique : Léo Daniderff Au temps où l'on faisait sept ans, Un petit conscrit de village, Le jour qu'il dut quitter ses champs Pour partir, manquait de courage, Car Lison troublait les esprits Avec la grâce de ses charmes, Elle était promise au conscrit Qui lui dit, le cœur tout en larmes : Belle fille, avec ta vertu, Pendant sept ans, m'attendras-tu ? Adieu donc, ma Lison, la jolie Je m'en vais tout joyeux, plein d'ardeur, Mais hélas ! souvent femme varie Pour l'amour, garde-moi tout ton cœur. Tes beaux yeux font toute ma folie, Loin de toi, que je sois ton vainqueur, Mais après mon départ pour l'armée Pense encore à moi, ma bien-aimée, Ma bien-aimée ! Jeannot gardait avec amour Sur son cœur le portrait de Lise ; En guerre, en combattant un jour, Une balle russe le brise. Par la mort il est bien touché Et dans la gloire et la fumée Il revoit son champ, son clocher Où l'attend la promise aimée. En pensant à l'être adoré, Tout bas, on l'entend murmurer : Adieu donc, ma Lison, la jolie, Tes beaux yeux vont verser quelques pleurs, Car frappé d'une balle ennemie Loin de toi, loin du pays, je meurs. Mais mourir pour sa Mère Patrie Et sa belle, est encore du bonheur. À bientôt, là-haut, dans l'autre vie Je t'attends, ô Lison, la jolie, Adieu, ma mie ! |
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