Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
14969 résultats trouvés
Titre : | Cabotine |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Desmoulins, Romain |
Interprète(s) : | Mayol, Félix |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 4458 |
Numéro de catalogue : | 23 |
Inscriptions complémentaires : | 22-6-23 |
Date de l'enregistrement : | 1923-06-xx - 1923-07-xx |
Instruments : | orchestre acc. |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,5ET sur Shure, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar duo declickle, dehiss |
Date du transfert : | 18-09-2024 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. "Le déshonneur de la famille" : allusion musicale à Manon, de Massenet, l'air "regardez-moi bien dans les yeux… ne bronchez pas" : ["...je suis gardien de l'honneur de la famille"] |
Texte du contenu : | Cabotine
Paroles : Roland Gaël - Musique : Romain Desmoulins - Éditions Mayol Jolie de visage, d'humeur folâtre Fille de commerçants Elle avait voulu faire du théâtre Malgré ses parents Un jour, elle osa monter sur les planches Le père, en courroux En apprenant ça, les poings sur les hanches Dit : Tu te moques de nous {Refrain :} Tu n'es qu'une cabotine Une fille de rien du tout Ton talent, ça se devine C'est de montrer tes dessous Loin de nous, ingrate fille Disparais à tout jamais Laisse-nous mourir en paix Car, malheureuse, tu fais Le déshonneur de la famille Puis vint l' succès, la fortune, la gloire La p'tite annonça : Je vais épouser un acteur notoire Y n' manquait plus qu' ça ! Le père retourna la lettre chez elle Avec ce p'tit mot : Épargne-nous bien ta visite et celle De ton sale cabot {Refrain :} Tu n'es qu'une cabotine Tu ne pouvais, c'est certain Épouser, ça se devine Qu'un vulgaire cabotin Tu es la dernière des filles Nous ne te connaissons plus Quant à ton mari, penses-tu Ça doit être un beau (**) - Merci Quel déshonneur pour la famille Mais les chers parents furent en faillite La ruine tout à coup… Ayant appris ça, elle accourt bien vite Elle paya tout La mère, la grand-mère, les cousins, la tante L'embrassèrent viv'ment Le père, enthousiaste et d'une voix éclatante Lui dit noblement : {Refrain :} Tu es une grande artiste Et je vois bien maintenant Que personne ne résiste D'vant ton immense talent Notre espoir en toi, ma fille N'a fait que se confirmer En un mot, pour résumer Je n' crains pas de l' proclamer : C'est toi, l'honneur de la famille ! ------------- (**) Le mot qui rime est ici remplacé par le son d'une pendule qui chante "Coucou !" |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |