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Title : | L'anneau, chansonnette leste | ||
Composers and/or lyricists : | Stellen | ||
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||
Content type : | Café-concert | ||
Audio file : | |||
Images : | |||
Recording medium : | Disque | ||
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Recording location : | Paris, France | ||
Manufacturer, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. | ||
Catalogue number : | 6428 | ||
Matrix number : | P1996 | ||
Recording date : | 1905 | ||
Condition : | Exc++ | ||
Speed (rpm) : | 71,2 | ||
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Transfer date : | 2014-01-15 | ||
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. | ||
Text or lyrics : | L'anneau
Paroles et musique : Stellen - Éditeur : Paul Dupont – Paris [1900] Dépassant la soixantaine Décati, portant bedaine Sans cresson sur la fontaine Il n'était plus folichon Quand, pris d'une folle envie Pour la conjugale vie Dans la vaste confrérie Il entra, le cornichon Dans la conjugale couche Sans brûler une cartouche Il dormait comme une souche Jusqu'à la pointe du jour Et sa femme, la pauvrette Le voyant battre en retraite Sans fournir même une traite Se disait : C'est ça, l'amour ? Le bonhomme eut conscience De son insignifiance Et la jaune défiance Remplit son cœur de souci Moins tranquille que Baptiste Le célèbre fantaisiste Il pensait, triste, bien triste Au sire de Framboisy Il voyait le fatal glaive Pendu jusque dans son rêve Sans repos ni fin ni trêve Sans un instant de répit Lorsque, une nuit, l' pauvre homme Broyant son jaune de chrome Vit descendre un blanc fantôme Du haut du ciel... de son lit Écoute, dit l'être vague Garde à ton doigt cette bague Tant que tu l'auras, sans blague Tu peux être convaincu Et chasser toute panique Grâce à cet anneau magique Inestimable relique Jamais ne sera cocu À moins toutefois, dit l'être Que tu ne désires l'être Dans ce cas, ton doigt, mon maître De l'anneau devra sortir Car tant qu'il est, je te jure Garni de son armature Si l'on tente l'aventure Il saurait te garantir Ayant parlé de la sorte L'ombre pâle et comme morte Prit le bouton de la porte Et sembla s'évanouir Tandis que le vieux bonhomme Le cœur tout rempli de baume Achevait son petit somme Et qu'il bavait de plaisir Or cet incroyable songe N'était point un vain mensonge La preuve en est, quand on songe Que par le fait du hasard L'époux dans sa rêverie Avait, par étourderie Mis à sa femme ahurie L'annulaire... quelque part |
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