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Title : | Les Mousquetaires au couvent ; gris, suis-je gris vraiment ? |
Composers and/or lyricists : | Varney, Louis ; Ferrier, Paul ; Prével, Jules |
Performers : | Boyer, Alexis |
Content type : | Opérette |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Catalogue number : | 645 |
Matrix number : | 8585 |
Instruments : | piano acc. |
Color of the material : | noir moulé |
Condition : | faible |
Speed (rpm) : | 160 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon declick, decrackle |
Transfer date : | 2009-01-10 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Les mousquetaires au couvent ; gris, suis-je gris vraiment ?
Création : Frédéric Achard (1880 aux Bouffes-Parisiens) - Paroles : Paul Ferrier, Jules Prével - Musique : Louis Varney - Éditions Choudens, Paris (1880) Gris, suis je gris vraiment ?... La chose est bien possible Mais la faute est aux bonnes sœurs Qui me comblèrent de douceurs Auxquelles je fus très sensible De la chère qu’on m’a donnée Voici le menu merveilleux, C’est une truite saumonée Avec un molina très vieux [la partition : Avec un marsala très vieux] Puis un jambonneau de Mayence Escorté de quatre perdrix Que je baptise en conscience D’un fin Bordeaux du plus haut prix. D’un fin Bordeaux du plus haut prix. Après le chapon de la Bresse Et pour finir vint le homard, Je les arrose avec largesse De Chambertin et de Pomard Je les arrose avec largesse De Chambertin et de Pomard Ah ! Quel déjeuner j’ai fait Quelle cave et quel buffet ! Tout était vraiment parfait J’en demeure stupéfait ! Et je m’attardais devant ce joli festin Rêvant que j’étais moine fervent Que j’étais moine fervent L’aumônier de ce couvent. |
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