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Titre : | Sigurd ; esprits gardiens | ||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Reyer, Ernest ; Locle, Camille du | ||||||
Interprète(s) : | Lafarge, Emmanuel | ||||||
Genre : | Opéra | ||||||
Fichier audio : | |||||||
Photo(s) : | |||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) | ||||||
Marque de fabrique, label : | Lioret | ||||||
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | ||||||
Instruments : | a cappella | ||||||
État : | Exc++ | ||||||
Vitesse (tours/minute) : | 109 | ||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2.2ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||
Date du transfert : | 23-12-2020 | ||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Le numéro lisible sur le couvercle n'est pas un numéro de catalogue de chez Lioret. Il s'agit d'un numéro d'inventaire du propriétaire initial. Ce cylindre provient d'un ensemble de cylindres qui étaient tous numérotés de la même façon. Cet ensemble resta longtemps entre les mains d'Alain Vian, marchand bien connu et de grand renom dans le monde des instruments de musique mécanique. | ||||||
Texte du contenu : | Sigurd ; Esprits gardiens
Création : Julien Jourdain (1884 au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles) - Paroles : Camille du Locle, Alfred Blau - Musique : Ernest Reyer - Éditeurs : Tresse et Stock, Paris (1891) Le bruit des chants s'éteint dans la forêt immense, Sous les tilleuls sacrés tout est ombre et silence, Et je me sens au cœur l’audace d'un héros ! Pourquoi tarder ?.. Que le combat commence ! Ô cor, de ces bois noirs éveille les échos ! Non ! si ma force et mon courage Succombent dans l'effort, Si la mort M'attend dans cette île sauvage, Esprits gardiens de ces lieux vénérés, Sachez quel nom, redit par votre bouche, M'éveillera sur ma funèbre couche, Lorsque j'y dormirai. Hilda, vierge au pâle sourire, Jeune lys tremblant sous ses fleurs, C'est ton doux nom que viendra dire Sur ma tombe la nuit en pleurs ! Hilda ! Hilda ! C'est ton doux nom que viendra dire Sur ma tombe la nuit en pleurs ! Mais non ! point de triste présage, Mon amour doublera ma force et mon courage, Elfes, Kobolds, paraissez tous, Je viens à vous ! |
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