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Titre : | Les Cloches de Corneville ; j'ai fait trois fois le tour du monde | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles | |||
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | |||
Genre : | Opéra-comique | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | cylindre | |||
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) | |||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||
Marque de fabrique, label : | Lioret | |||
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 | |||
Instruments : | chant homme a cappella | |||
Vitesse (tours/minute) : | 125 | |||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 1,5ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat | |||
Date du transfert : | 15-03-2021 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Hauteur celluloid 81mm | |||
Texte du contenu : | Les cloches de Corneville
Paroles: Clairville et Charles Gabet Musique: Robert Planquette J'ai fait trois fois le tour du monde J'ai fait trois fois le tour du monde Et les dangers font mon bonheur J'aime le ciel quand le ciel gronde La mer quand elle est en fureur J'ai fait trois fois le tour du monde Et les dangers font mon bonheur J'ai fait trois fois le tour du monde. Dans mes voyages Combien d'orages Que de naufrages ! Mais en retour Au sein des fêtes Que de conquêtes Que d'amourettes Sans amour Italiennes Circassiennes Algériennes Chaque pays Ou blonde, ou brune M'en devait une Et de chacune J'étais épris. Toujours de même Le croyant, même, J'ai dit: Je t'aime À des vertus Dont la victoire Faisait ma gloire Et ma mémoire Ne les voit plus C'est qu'une belle Me rend fidèle Je me rappelle Toujours, hélas ! La bienvenue Cette inconnue Que j'ai tenue Entre mes bras Je l'ai tenue Entre mes bras Entre mes bras Oui Ville chérie Ô ma patrie Fais, je t'en prie, Parler les flots Mais qu'on me rende Cette Normande Que je demande À tes échos Pour la connaître La voir renaître Et m'apparaître Sortant des flots Tout m'est facile Fût-il utile De braver mille Dangers nouveaux ! |
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