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Title : | Sacrée famille ! |
Composers and/or lyricists : | Stanislas, Adolf ; Telly, Vincent |
Performers : | Vilbert |
Content type : | Café-concert : comique troupier |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Double-side number : | 2505 |
Catalogue number : | 2521 |
Matrix number : | 59193GR |
Recording date : | 31-1 |
Instruments : | orchestre acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 90 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2011-10-21 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Sacrée famille !
Paroles : Vincent Telly - Musique : Adolf Stanislas - Éditeur : S. Eichard, Paris (1907) C' matin, après la théorie Y a le colon qui s'est am'né Il a parlé de la patrie Puis ensuite il a ajouté : Ici vous êtes tous des frères C'est votre famille le régiment J' pensais : En v'là une drôle d'affaire Je m' connaissais pas tant d' parents Alors i' r'prend avec mystère : Il faut l'aimer ce régiment Moi, l' colonel, je suis votre père Vous, les bleus, vous êtes mes enfants C'est rigolo c' qu'i' nous raconte Que je m' disais, ben, mon cochon Voilà ma mère, c'est une honte Qu'a fait des blagues avec le colon Il continue : La république C'est votre mère, il faut l'aimer J' pensais : Sacré nom d'une bourrique J' sais plus par qui que j' suis né Voilà maint'nant que j'ai deux pères Et puis deux mères, c'est à s' crever D'autant plus qu' ça embrouille l'affaire De s' mettre à quatre pour m' fabriquer Il nous raconte un tas d' machines Et parle du drapeau, des combats Qu'on pourrait avoir des sardines Et qu' fallait être des bons soldats Enfin, la vertu militaire Faut qu' vous l'ayez tous, mes enfants Je m' dis : J' l'ai perdue avec Claire S'i' sait ça, i' s'ra pas content Enfin v'là l' colon qui s' débine Si j' suis son fiston, que j' pensais J' vas prendre un verre à la cantine Puis je l' boirai à sa santé Je m'amène chez la cantinière Je commande un litre, je l' paie pas Et j'y dis : Dites donc, la p'tite mère Faut mettre ça su' l' compte de papa Le v'là justement qui s'approche J' lui dis douc'ment : Bonjour, papa Comme j'avais pas un rond dans ma poche J'ai pris un litre, tu m' le paiera Le v'là qui s' met dans une colère Ce qui fait qu'on m'a foutu d'dans Eh ben, mon vieux, depuis c'tte affaire Ça m' dégoûte d'aimer mes parents |
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