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Title : | Les demoiselles de pensionnat |
Composers and/or lyricists : | Guilbert, Yvette ; Chaudoir, Félix ; Dalleroy |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Catalogue number : | 6411 |
Matrix number : | P1935 |
Recording date : | 1905 |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 71,2 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2014-01-18 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Les demoiselles de pensionnat
Création : Yvette Guilbert (1894, encylindré en 1897 par Rollini) - reprises : Nita Darbel (1894), Duval (circa 1900), Charlus (1905) Paroles : Dalleroy - Musique, Yvette Guilbert, arrangements Félix Chaudoir - Éditeur : La sirène musicale - Paris (1894) Yvette Guilbert : Toutes papotantes et frétillantes Sous le regard des surveillantes Elles promènent leurs corsages plats Les demoiselles de pensionnat Elles ont, ces jeunes et coquettes filles Une jupe qui s'arrête aux chevilles Et une langue qui n' s'arrête pas Les demoiselles de pensionnat Et sur leurs fronts que rien ne froisse Elles n'ont pas un seul pli d'angoisse Elles n'ont des p'tits plis qu'à leurs bas Les demoiselles de pensionnat Quand elles s'habillent devant leur glace Un p'tit désir en leur âme passe D'avoir des chemises qui n' les grattent pas Les demoiselles de pensionnat Elles rêvent de p'tites culottes toutes roses Dans le haut pudiquement closes Avec des faveurs, oui, dans l' bas Hou ! les demoiselles de pensionnat Et quand elles accrochent leurs jarretières Elles ont l'intuition première D'une paire de flûtes dont on jouera Les demoiselles de pensionnat En attendant, elles sont gentilles Et font la joie de leurs familles Car leurs familles ne les voient pas Les demoiselles de pensionnat Elles sont l'éclat de rire en la vie Jusqu'au jour où on les marie C' qui est alors le suprême éclat Des demoiselles de pensionnat Et lorsque sonne l'heure tendre Que l' jeune mari croit leur apprendre Elles ont leur baccalauréat Ah ! les demoiselles de pensionnat ---------- Charlus : Toutes papotantes et frétillantes Sous le regard des surveillantes Elles promènent leurs corsages plats Les demoiselles de pensionnat Elles ont, ces jeunes et coquettes filles Une jupe qui s'arrête aux chevilles Une langue qui ne s'arrête pas Les demoiselles de pensionnat Et sur leurs fronts que rien ne froisse Elles n'ont pas un seul pli d'angoisse Elles n'ont des p'tits plis qu'à leurs bas Les demoiselles de pensionnat Quand elles s'habillent devant leur glace Un p'tit désir en leur âme passe D'avoir des chemises qui n' les grattent pas Les demoiselles de pensionnat Elles rêvent de culottes toutes roses Dans le haut pudiquement closes Mais avec des faveurs dans l' bas Les demoiselles de pensionnat Et quand elles agrafent leurs jarretières Elles ont l'intuition première D'une paire de flûtes dont on jouera Les demoiselles de pensionnat Éprises d'idéal et d' tendresse Elles cachent avec assez d' justesse Des livres d'amour sous leur matelas Les demoiselles de pensionnat Altérées de sources impures Elles boivent le texte et les gravures Après boiront du quinquina Les demoiselles de pensionnat Et dans le jour, désir de vierge Elles font de l’œil au vieux concierge Malgré son nez bourré d' tabac Les demoiselles de pensionnat En attendant, elles sont gentilles Et font la joie de leurs familles Car leurs familles ne les voient pas Les demoiselles de pensionnat Elles sont l'éclat d' rire en la vie Jusqu'au jour où on les marie C'est alors le suprême éclat Des demoiselles de pensionnat Et lorsque sonne l'heure tendre Que l' jeune mari veut leur apprendre Qu'elles ont leur baccalauréat... Lala lala ! les demoiselles de pensionnat |
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