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Titre : | Cousine |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Valsien, Albert [Albert Valensi] |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2735 |
Numéro de catalogue : | 886 |
Numéro de matrice : | 88165RA |
Date de l'enregistrement : | 1913-11-01 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 22-10-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Cousine
On trouvera ci-dessous les textes des versions chantées par : - Paul Lack - Mayol (disque Parlophone) - Charlus Paul Lack : Autrefois, ma cousine Hortense Arrivait de temps en temps Chez mes parents Elle venait passer ses vacances Dans notre petite maison Près de Toulon C'était dans le programme Quand nous recevions le télégramme Le bonheur dans l'âme À la gare je courais comme un fou Mais l' train arrivait tout à coup En la voyant, je criais : Zou ! {Refrain :} Cousine, cousine T'es fraîche comme une praline Cousine, cousine Coquin' de sort, quelle bonne mine ! {Parlé : Et tu as bien dormi dans le train ? J'espère que tu avais un coin, hein} Cousine, cousine Embrasse ton cousin germain Chaque matin, courant vers la grève Afin d' nous baigner tous deux Dans les flots bleus On s' déshabillait, quel beau rêve ! Sous l'ombrage hospitalier Des oliviers Rouge comme une cerise Pendant qu'elle cachait sa gorge exquise J' disais des bêtises Comme y avait personne pour nous r'garder J' lui disais : J' vais en profiter Pitchounette, pour t'embrasser {Refrain :} Cousine, cousine Qu'est-ce que j' vois sur ta poitrine ? Cousine, cousine On dirait deux mandarines {Parlé : Ah ! Tu les as, les mandarines, c'est certain Mais, peuchère, que tu m'en bouches un coin !} Cousine, cousine Pour toi j'ai un vrai pépin - - - Mayol – version Parlophone A 138705 - Autrefois, ma cousine Hortense Arrivait de temps en temps Chez mes parents ; Elle venait passer ses vacances Dans notre petite maison Près de Toulon. C'était dans le programme, Quand nous recevions le télégramme, Le bonheur dans l'âme À la gare, je courais comme un fou Mais le train arrivait tout à coup En la voyant je criais : Zou ! Cousine, cousine, T'es fraîche comme une sar... praline ! Cousine, cousine, Coquin de sort, quelle bonne mine ! {Parlé : Tu as bien dormi dans le train ? J'espère que tu avais un coin, au moins} Cousine, cousine, Embrasse ton cousin germain ! Viens ! Chaque matin, courant vers la grève, Afin d'nous baigner tous deux Dans les flots bleus, On s'déshabillait - quel beau rêve ! - Sous l'ombrage hospitalier Des oliviers. Rouge comme une cerise, Afin de m'cacher sa gorge exquise, Elle ram'nait sa ch'mise, Mais comme y avait d' la dentelle partout Souvent, je voyais par un trou Un sein qui montrait son p'tit bout. {Parlé : Hein, qu'est-c' que c'est ?} Cousine, cousine, Qu'est-c'que j'vois sur ta poitrine ? Cousine, cousine, On dirait deux mandarines {Parlé : Tu as les mandarines, c'est certain, Mais peuchère, ce qui m'en bouche un coin,} Cousine, cousine, C'est qu'c'est moi que j'ai le pépin ! Vaï ! Mais elle m'écrivit l'autre année : Cher cousin, je n' viendrai pas, Tu m'excus'ras, D'puis huit jours, je suis mariée Et pour plaire à mon mari J'reste à Paris. La méchante lettre, Quel chagrin en moi elle fit naître ! Du fond de mon être Monta comme un frisson de rancœur ; J'interrogeai dans ma douleur Les arbres, la grève, les fleurs. Cousine, cousine Si gentille, si câline, Cousine, cousine, C'est mon cœur qu'elle piétine, {Parlé : On devait se marier au printemps, Et moi je suis là, tè ! j'attends} Cousine, cousine, L'amour, c'est des boniments ! Vlan ! - - - Charlus : Autrefois, ma cousine Hortense Arrivait de temps en temps Chez mes parents ; Elle venait passer ses vacances Dans notre petit' maison Près de Toulon. C'était dans l'programme, Quand nous recevions le télégramme, Le bonheur dans l'âme À la gare je courais comme un fou Mais l'train arrivait tout à coup. En la voyant je criais : Zou ! Cousine, cousine, T'es fraîche comme une praline, Cousine, cousine, Coquin de sort, quelle bonne mine ! {Parlé : Et tu as bien dormi dans le train ? J'espère que tu avais un coin, hein !} Cousine, cousine, Embrasse ton cousin germain ! {Parlé : Plus fraîche que la rose !} Chaque matin, courant vers la grève, Afin d'nous baigner tous deux Dans les flots bleus, On s'déshabillait - quel beau rêve ! - Sous l'ombrage hospitalier Des oliviers. Rouge comme une cerise, Afin d' me cacher sa gorge exquise, Elle ram'nait sa ch'mise, Mais comme y avait d' la dentelle partout Souvent, je voyais par un trou Un sein qui montrait son p'tit bout. Cousine, cousine, Qu'est-c'que j'vois sur ta poitrine ? Cousine, cousine, On dirait deux mandarines {Parlé : Tu as les mandarines, c'est certain, Mais peuchère, ce qui m'en bouche un coin,} Cousine, cousine, C'est qu'c'est moi qu'ai le pépin ! Hé ! {Parlé : Hé, j'en ai un gros de pépin, va !} Mais elle m'écrivit l'autre année : Cher cousin, je n' viendrai pas, Tu m'excus'ras, Depuis huit jours, je suis mariée Et pour plaire à mon mari J'reste à Paris. La méchante lettre, En moi quel chagrin elle fit naître ! Du fond de mon être Monta comme un frisson de rancœur ; J'interrogeais dans ma douleur Les arbres, la grève, les fleurs. Cousine, cousine Si gentille, si câline, Cousine, cousine, C'est mon cœur que tu piétines, {Parlé : On devait s'unir au printemps, Et moi je suis là, tè ! j'attends} Cousine, cousine, L'amour, c'est des boniments ! Ho la la ! |
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