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Titre : | Mes sœurs jumelles | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Spencer, Émile ; Botrel, Théodore | ||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 19 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. | ||
Numéro de catalogue : | 6473 | ||
Numéro de matrice : | P2306 | ||
Date de l'enregistrement : | 1906 | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 71,2 | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 15-01-2014 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. | ||
Texte du contenu : | Mes soeurs jumelles
Création : 1892 (Théodore Botrel ?) - Paroles : Théodore Botrel - Musique : Émile Spencer - Éditeur : F. Bigot, Paris (1892) La partition : ------------------ J'ai deux p'tites sœurs que j'aime beaucoup Deux jumelles qui se ressemblent en tout Deux vrais p'tits modèles Blague à part, y en a pas d' plus bath ! Elles ont la peau douce et l' teint mat On dirait deux p'tites mirabelles Ah ! c' que j' les gobe, mes sœurs jumelles J' les emmène partout avec moi Et j'en suis bien plus fier qu'un roi Tant elles sont belles Toutes les dames sur not' chemin Admirent leur p'tit air enfantin Et tout en jouant d' la prunelle Elles caressent mes deux sœurs jumelles Dans le pays turc en été Tous les trois nous avons été Le Sultan m'appelle Renvoie tes deux sœurs au bercail Dit-il, tu gard'ras mon sérail J'ai r'fusé des offres si belles Pour conserver mes sœurs jumelles Jadis, nous étions très heureux Mes deux sœurs avaient toutes deux De bonnes clientèles Mais aujourd'hui c'est bien fini Car il est loin ce temps béni Où l'or gonflait leurs escarcelles Maint'nant l'or quitte mes sœurs jumelles Afin d' calmer leur affliction J' viens d' leur offrir une suspension Mais s' consol'ront-elles ? Hélas ! je l'espère bien peu [Charlus : Hélas ! je l'espère bien un peu] Car j'ai beau les s'couer tant qu' je peux Rien ne réveille ces demoiselles Elles deviennent molles, mes sœurs jumelles Allons, mesdames, parmi vous Quelle est celle qui m' veut pour époux Avec mes donzelles ? Nous les soignerons tous les deux Car, je vous l' jure, j'aimerais mieux Me faire sauter la cervelle Que vivre sans mes sœurs jumelles ! |
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