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Titre : | Le Buste de l'aïeul |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Guéteville, Louis ; Belhiatus |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Zonophone international Company |
Numéro de catalogue : | x-82926 |
Numéro de matrice : | 6366h |
Date de l'enregistrement : | 1908 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012 |
Date du transfert : | 19-05-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Héritage, Robespierre. Jeu de mots basé sur une quasi-homophonie, une parophonie : l'aïeul = la gueule |
Texte du contenu : | Le buste de l'aïeul
Création : Plébins (1896) - reprises : Limat, Paul Lack - Paroles : Belhiatus - Musique : Louis Guéteville, Belhiatus - Éditeur : L. Guéteville, Paris (1897) Dans un héritage, dernièr'ment Mon voisin trouva l' buste en pierre De son aïeul, un ci-devant Qui vivait du temps d' Robespierre Il m' dit : V'nez l' voir quand vous voudrez C'est le grand-aïeul de ma femme En entrant, j' dis donc à la dame : J' viens voir l'aïeul que vous avez Elle m' dit : Voyez, ça pèse son poids Y en avait deux, l'autre en bois d'orme Mon beau-père a l'aïeul de bois Sous le nez s' trouve une fente énorme L' sien est plus propre que celui-ci Il est bien frais, sortant d' la malle J' dis : Oui, vous avez l'aïeul sale On voit qu' c'est vieux, tout défraîchi La femme lui trouvait l' menton gras L' front haut, l' nez grec et l’œil plein d' flamme J' pensais l' contraire mais j' pouvais pas Taper sur l'aïeul de c'te femme Pour le rendre blanc, ça va tout seul Que j' dis, faites une peu d'eau d' potasse Y a qu' ça d' vrai pour enl'ver la crasse Tenez, j' vas vous laver l'aïeul J' dis : Voyons c' que ça peut peser Et j' soulève le bonhomme en pierre La femme s'écrie : Il va l' briser Il va nous fiche l'aïeul par terre ! Juste ! j' prends ça comme un fourneau J' glisse en voulant voir c' que ça pèse J' tombe les reins sur le coin d'une chaise Et l'aïeul à plat sur l' carreau Vous pensez s'ils étaient furieux D' voir la statue en trois par terre J' m'en arrachais des touffes de ch'veux Comprenant très bien leur colère J' croyais pouvoir l'enl'ver tout seul Voyez, v'là des braves gens qu' j'estime Moi, pas méchant pour un centime Eh ben, j' leur z'y ai cassé l'aïeul ! |
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