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Titre : | Des deux côtés |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Taillefer, Jean ; Helmer |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Numéro de catalogue : | A73060 |
Numéro de matrice : | 235 |
Date de l'enregistrement : | 1908-1909 |
Vitesse (tours/minute) : | 77 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 26-05-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Intéressant : acclamations simulant le public, pour un dernier couplet |
Texte du contenu : | Des deux côtés
Création : Charlus et Amelet (circa 1905) Paroles : Amelet - Musique : Jean Taillefer, Charles Helmer - Éditeur : Orgeret L’homme, en général, est volage Par nature, il aime le chang'ment Au bout de quelque temps d’ ménage Il cherche ailleurs de l’amus'ment Mesdames, faut pas vous faire de bile Quand votre mari tout palpitant Portera ses caresses en ville Ne jeûnez pas, faites-en autant Marchez et dites-lui : Vieux satyre Si tu tires, je tire {x 2 :} Tire de ton côté, moi, j’ tir'rai du mien Dans l’ sens opposé et nous verrons bien Sacré nom d’un chien, après cet effort Celui qui tir'ra l’ plus fort Rien n’est charmant comme une maîtresse Qui vous rend baiser pour baiser Si c’est toujours l’homme qui caresse Il est bien plus vite apaisé L’amour, mesdames, c’est toute la vie Mais pour que ça tourne en passion Faut qu’ vous ayez aussi l’envie D’ pousser à la consommation Et qu’ vous disiez, d’une voix douce : Si tu pousses, je pousse {x 3 :} Pousse de ton côté, moi, j’ pouss'rai du mien Dans l’ sens opposé et nous verrons bien Sacré nom d’un chien, après cet effort Celui qui pouss'ra l’ plus fort |
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