Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4399 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1393 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4399 |
Titre : | J'ai la traquette |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Thuillier fils, Charles |
Interprète(s) : | Lack, Paul [Léopold Postieau] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Blue Amberol (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Edison |
Numéro de catalogue : | 27025 |
Numéro de matrice : | 1 |
Inscriptions complémentaires : | 4M-17032 |
Date de l'enregistrement : | 1909 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 78t sur Ortofon, Cedar X declick, decrackle |
Date du transfert : | 28-11-2009 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. La traquette : la peur du moindre bruit ou du moindre événement contrariant. |
Texte du contenu : | J'ai la traquette
Ah ! C'est bien moi qui suis là Arrêtez, hé, là-bas Mon coeur bat. Ah ! J'en suis tout penaud Ah ! Ah ! Voilà z'une auto Aie, voilà qu'e' m'passe su' l'dos Quel boucan, c' t'épatant Par derrière, par devant. Ma parole, on sait plus où passer Oh ! Oh ! Comment traverser ? Ah, je suis fricassé Ah ! Ah ! Je suis mort Non, non, je respire encore Oh ! C'est épouvantable d'avoir un trac pareil Mais c'est malgré moi, voyez-vous, car (Refrain :) J'ai la traquette au moindre bruit Je frissonne dans ma liquette Et je suis tout ahuri Je me tortille Tout tremblotant Et je me recroqueville Quand la traquette me prend Au passage d'un train, Au grincement des freins Le sifflet, ça me fait un effet Quand j' vois la vapeur, Je sens pilpater mon coeur Si, par un ciel tout noir, Je m'attarde le soir, Si mon ombre marque le chemin, Au s'cours ! Je m' fourre dans un coin A moi ! V'là les assassins ! Ah ! Assez ! Oh, non ! Je sens mon foie, ma rate, Mon gésier et mes intestins Qui font la danse chaloupée à l'intérieur de mon individu Car, voyez-vous, moi (au Refrain) Quand je rentre chez moi, Le coeur rempli d'émoi, En tremblant, je pousse les verrous On sonne ! C'est p't-être un voleur Encore ! Je suis mort de peur Au moindre courant d'air, Alors, je saute en l'air. Quand l'orage fait rage, Et, surtout... Ah ! Assez ! Han, je deviens fou. Pardon, dis-je à deux genoux. Brrr ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! J'en ai des frissons entre le gîte à la noix et les côtelettes premières (au Refrain) Si, parfois, mes voisins se giflent sans témoin, Je frémis sans savoir trop pourquoi. Flic, flac ! En me laissant choir, Flic, flac ! Je crois les r'cevoir D'puis qu' j'ai été mordu, Je suis tout mal foutu Je m'cavale quand je vois un cabot Ah ! Aie ! J' crois sentir ses crocs Ouille ! Ouille ! Ouille ! Qui m'rentrent dans la peau. Allez, couché, sale cabot ! (au Refrain) |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |