Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4399 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3275 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4399 |
Titre : | Mon coeur | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Willemetz, Albert ; Saint-Granier ; Le Seyeux, Jean | ||
Interprète(s) : | Mayol, Félix | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement électrique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Parlophone | ||
Numéro de double-face : | 22935 | ||
Numéro de catalogue : | B138717 | ||
État : | abon | ||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 09-06-2010 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Pochette Parlophone | ||
Texte du contenu : | Mon coeur
Paroles : Albert Willemetz, Saint-Granier, Jean Le Seyeux - Musique : Henri Christiné Création : Maurice Chevalier et Yvonne Vallée (1926 dans la revue Paris) - reprises : Georges Milton, Max Rogé, Albert Marier, Mayol Lorsque je suis né J'avais un p'tit cœur Bien conditionné Tout rose et frais comme une fleur Mais à dix-huit ans J'eus la naïveté De l'ouvrir tout l' temps à celles qui voulaient l' visiter Des brunes et des blondes Femmes de tous les mondes Et sans m'en douter Ça m' l'a tout esquinté Quand on laisse entrer trop de femmes dans son cœur Y a toujours un peu d' grabuge à l'intérieur J'aurais dû prévoir qu'il y avait du danger À r'cevoir chez moi un public mélangé Comme celui d' ma mie mon cœur est tout petit Mais les femmes légères me l'ont tout aplati Il arrive un jour qu'on a des lourdeurs Quand on laisse entrer trop de femmes dans son cœur Je l' comprends trop tard Même un cœur aimant N'est pas un bazar Où l'on peut entrer librement Sitôt qu'une nouvelle Y vient un moment Elle se croit chez elle Et s'installe complètement Elle vous déménage Elle vous saccage Tous les souvenirs Auxquels on peut tenir Quand on laisse entrer trop de femmes dans son cœur On n'est plus le maître de son intérieur On a beau les menacer d'une expulsion Elles invoquent la loi sur les prorogations Moi qui n'aime au monde que ma tranquillité Je m' dis "Quelle leçon, tâchons d'en profiter" On est sûr d'avoir des cris et des pleurs Quand on laisse entrer trop de femmes dans son cœur Quand à cinquante ans On a sa vieille maman Et qu'on a une femme qui n'est âgée que d' quarante ans Qu'on possède une fille Fraîche et bien gentille Sur l' point d'être mère, ça vous fait une jolie famille On peut s' dire, ma foi Plus heureux qu'un roi Si on la chance d'être aimé des trois Quand on peut avoir ces trois femmes dans son cœur Afin de tenir votre petit intérieur Tout est bien en ordre, tout est bien rangé Chaussettes et faux cols sont bien raccommodés Tout ce qui leur plaît, à vous-même ça vous plaît On peut sur sa porte écrire "C'est complet" On est toujours sûr d'avoir du bonheur Quand on peut avoir ces trois femmes dans son cœur |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |