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Titre : | Azaya | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Moretti, Raoul ; Pothier, Charles-Louis ; Varna, Henri | ||
Interprète(s) : | Dranem | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 29 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||
Numéro de double-face : | 4291 | ||
Numéro de catalogue : | 200465 | ||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 3,0ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 25-04-2022 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Colonial. Condition féminine, prostitution. | ||
Texte du contenu : | Azaya
Paroles : Charles-Louis Pothier, Henri Varna - Musique : Raoul Moretti - Éditeur : Salabert (1926) Près d’Alger, dans un hôtel, j’étais une nuit Endormi Quand soudain j’fus éveillé par des sidis Des arbis Dans la rue, en dessous d’moi À pleine voix Ils criaient tous à la fois : {Refrain :} Azaya ! Azaya ! Ils étaient plus d’mille Azaya ! Azaya ! Qui gueulaient tous ça ! En chœur ils poussaient ce cri : Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Toute la nuit j'entendis : Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Y avait des Kabyles Azaya ! Azaya ! Qui n'arrêtaient pas Je m' disais : Qu'est-c'que c'est qu'ça ? Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Le matin j’dis au garçon : Quel est cela Azaya ? Il me fait : C’est une moukère très courue De notre rue Y a des sidis tous les soirs Pour la voir Qui font la queue, su’ l’trottoir {Refrain :} Azaya ! Azaya ! Le soir, j’me pagnote Azaya ! Azaya ! Et v’là qu’ils r'mettent ça ! Hurlant d’vant chez la moukère : Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Pour lui dire qu’ils voulaient faire Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Je m’dis : Saperlotte ! Azaya ! Azaya ! Ma, qu’est-ce qu’elle prendra ! Si avec tous elle fait ça Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Mais comme ça m'embêtait d’entendre ce refrain Le lend'main Je m’faufilai le premier dans le gourbi D’la houri Et, tandis qu’on s’expliquait J’entendais Tous les sidis qui braillaient : {Refrain :} Azaya ! Azaya ! Ils étaient une foule Azaya ! Azaya ! Qui criaient tous ça ! Oui, mais pendant qu’ils disaient : Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Ben c’était moi qui faisais Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Dans le lit d’la poule Azaya ! Azaya ! Je n’m’embêtais pas J’disais : Vas-y, mon p’tit rat ! Arouah ! Arouah ! Arouah ! Ah ! Azaya ! Azaya ! Arouah ! Arouah ! Ah ! |
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