Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4399 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4279 4301 4351 4399 |
Titre : | Pour me fortifier |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène ; Arnould, Georges |
Interprète(s) : | Polin [Pierre Paul Marsalès] |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Edison |
Numéro de catalogue : | 17532 |
Date de l'enregistrement : | 1905 |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | abon, saute à l'annonce et à la fin |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 06-06-2000 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. Marc Béghin. |
Texte du contenu : | Pour me fortifier
Paroles : Eugène Rimbault, Georges Arnould - Musique : Henri Christiné, Eugène Rimbault - Éditeur : Le Tourlourou (Eugène Rimbault), Paris (1905) Y a quéqu' temps, l' méd'cin m' dit : Jeune homme Pour vous former l' tempérament Et pour dev'nir solide en somme Faut faire des sports, du dév'lopp'ment Vous êtes un p'tit peu mince des hanches Faut vous fortifier, mon garçon J'y dis : C'est bon, maint'nant l' dimanche J'irai aux fortifications Mais non ! qu'i' m' dit, l' gros plein d' malice C'est pas comme ça qu' vous d'viendrez fort Ce qu'il vous faut, c'est d' l'exercice N'importe lequel mais faut des sports Ça vous f'ra grossir la poitrine J' demande pas mieux, qu' j'y dis, ma foi Car ça fait longtemps qu' ça m' chagrine Qu' ma bonne amie en ait plus qu' moi J' vais donc l' soir même dans une grande salle Ousqu'il y avait des tas d' messieurs En flanelle et puis en sandales Le patron m' dit : Faut faire comme eux Il ajoute : Voyons, jeune élève Est-ce que vous êtes fort su' les poids J' y dis : J' suis fort que su' les fèves Mais au besoin j' bouffe n'importe quoi Et i' prend des espèces d'affaires Qu'avaient des grosses boules à chaque bout I' dit : Voyez, ça c'est des haltères J'y dis : Bon, désaltérons-nous Mais non ! qu'i' répond, tête de mule ! À bout d' bras faut qu' vous les portiez De cette façon vous f'rez l'hercule J' y dis : J' f'rai l'air que vous voudrez Il ajoute en m' tapant su' l’épaule : Maint'nant j' vas vous chercher l' masseur Ah ! j' dis, chouette ! ça va d'venir drôle Si l' patron va m' chercher sa sœur Là-d'ssus un grand gaillard s'amène Et i' m' frotte les jambes et les bras J' lui dis : Vous donnez pas tant d' peine La sœur du patron va m' faire ça Et i' répond : Voulez-vous vous taire ! J' m'en vas vous assouplir les reins C'est tout c' qu'y a d' plus salutaire Puis j' raffermirai votre bassin Mon bassin ? qu' je m' dis, saperlotte ! J'ai un bassin ? oh ! c'est rigolo Ben, si la sœur du patron m' botte J'y dirai d' faire aller l' jet d'eau |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |