Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4399 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2005 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4399 |
Titre : | Le soldat aviateur, ou le record de la hauteur |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Polin [Pierre Paul Marsalès] |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 21 cm saphir (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2318 |
Numéro de catalogue : | 3535-2 |
Numéro de matrice : | P.3535-2 |
Inscriptions complémentaires : | 8 |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 30-09-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Aéronautique, avion, aviation |
Texte du contenu : | Le soldat aviateur
Création : Polin (1911) - reprises : Gaston Ouvrard, Gabriel Miller Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Le Tourlourou / Eugène Rimbault Polin [et principales différences Miller] : Aux Moulineaux, mon capitaine me dit : J'vais t'faire un grand honneur Dans mon nouveau biplan, j’t’emmène Pour battre le r'cord de la hauteur Je m'dis : C'truc-là, ça n'm'amuse guère [J'y dis : C'truc-là, ça m'emballe guère] J'aimerais mieux aller dans l'métro Si, si, qu'i’ m'fait, ça va t'distraire Et i’ m'installe dans son zoiseau Tout d'suite, v'là l'machin qui s'débine On monte à mille mètres brusquement L'chef me dit, voyant ma bobine : [L'chef me dit sans voir ma bobine :] On va au nord-est en c'moment Moi, j'pensais à ma pauvre mère J'dis : Ça monte trop, j'ai d'l'inquiétude Son nord-est, ça n'me rassure guère Moi que j'voyage que dans l'nord-sud Soudain, v'là qu'éclate un orage L'chef me dit : Gagnons d'la hauteur ! Allons, mets-toi vite à l'ouvrage Tire les ailerons, maintiens l'tendeur Raidis donc l'pied, pousse à l'essence Bouges-y la queue ! Je dis : Vraiment ? Quand j'suis avec ma connaissance Elle n'oserait pas m'en d'mander tant ! Effrayé, j’tremblais dans mes bottes D’puis longtemps, l’on n’voyait plus l’jour J’avais plus d’sang dans ma culotte Et l’on montait, montait toujours L’vent soufflait dans les ailes en toile J’dis : Ça y est, nous sommes foutus [Je m'dis : Y a pas, nous sommes foutus] Si nous rencontrons une étoile On va s’casser la gueule dessus Tout à coup, v'là quéqu' chose qui casse L’capiston m'dit : Nous descendons En effet, j'sens qu'on fend l'espace Et vlan ! sur la terre nous tombons On s'relève tous deux sans dommage L'chef me dit : Pourquoi donc, là-haut Tu n'as pas coupé l'allumage ? J'y réponds : J'avais pas d'couteau Bref, pour me r'mettre de c't infortune J'vais chez Rose dont j'suis amoureux Oh ! j'ai soif, m’dit ma jolie brune [Oh ! j'ai soif d'amour, m'dit ma brune] Viens qu'on monte au ciel tous les deux Ah ! ben non, qu'j'y réponds, ma chère Monter au ciel, vrai, y penses-tu ! J'ai pas envie d'me r'foutre par terre [J'ai pas envie d'me r'foutre la gueule par terre] Vas-y toute seule, moi, j'marche plus |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |