Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4399 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3267 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4399 |
Titre : | Sa mère veillait sur elle | |||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] | |||
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | |||
Genre : | Café-concert | |||
Fichier audio : | ||||
Photo(s) : | ||||
Support d'enregistrement : | Disque | |||
Format : | 26 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) | |||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||
Numéro de double-face : | 4847 | |||
Numéro de catalogue : | 122 | |||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | |||
État : | Exc++ | |||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | |||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | |||
Date du transfert : | 06-04-2022 | |||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. | |||
Texte du contenu : | Sa mère veillait sur elle
Création : Dufleuve (1911) - reprises : Dranem, Tramel, Paul Lack, Charlus Paroles : Bouchaud - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Édition universelle (1911) Un jour, une pauvre petite rosetière Sortie du couvent des petits oiseaux Pour apprendre l’état de couturerière Sur le grand boulevard de Sébasto Sortant d’ son atelier, un soir Un homme l’accosta su' l’ trottoir {Refrain :} Heureusement, sa mère veillait sur elle Le jour, la nuit, le soir et le matin Car sans cela la pauvre jouvencelle Aurait sûrement pris le mauvais chemin Dans un hôtel meublé il l’emmèmène Elle prit son mouchoir et s’ mit à pleurer – Vous êtes bien pudique, ma sirèrène Dit-il, en l’embrassant pour la calmer Il embrassa ses bras, son cou Il l’embrassa un peu partout {au Refrain} – J’ suis pas un vaurien, je vous l’assussure Dit le grand scélérat, croyez-moi bien J’ai des beaux chevaux et des voitutures Puis au p’tit trottin il prit les deux mains Dans sa main gauche il mit un louis Dans l’autre je n’ sais pas c’ qu’il lui mit {au Refrain} Le monstre en fit une gigolelette Il envoya la belle sur le trottoir Le soir, il lui chipait sa galelette Qu’elle avait fourrée dans ses deux bas noirs Il lui prit tout ce qu’il voulut Il en aurait pris beaucoup plus {au Refrain} Mais un soir en s’ promenant dans la rurue Elle se fit pincer par l’agent Bourgeois Qui lui dit : Suivez-moi, l’ingégénue Ouste ! à la préfecture et d'puis, ma foi Elle a sa carte, parole d’honneur Comme qui dirait un électeur {au Refrain} |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |