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Titre : | Qui m'aurait dit, valse chantée | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Serpieri, Attilio ; Millandy, Georges | ||
Interprète(s) : | Marel, Mme | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Eden, Société anonyme française ondographique | ||
Numéro de catalogue : | 20209 | ||
Instruments : | orchestre | ||
État : | Exc+ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 78 | ||
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Decca, passe-bas 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 21-05-2012 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Epreuve. Etiquette blanche, mention manuscrite à l'encre : 'Qui m'aurait dit - valse chantée par Mme Morel'. Au crayon : 20209... Au revers, on lit cinq fois 'Paris', en anglaises en relief [à la façon des disques Eden Sté. ondographique]... S'agit-il donc d'une Mme Morel, ou Marel ? | ||
Texte du contenu : | Qui m'aurait dit
Création : Dickson (1905) - reprises : Eva du Perret, Liane Desty, Marjal, Georgel, Stradel, Salvator, Esther Lekain, Georges Elval, Karl Ditan, Mme Morel/Marel ?, Lucienne Boyer, Fred Gouin, Henri Garat, Aimé Doniat Paroles : Georges Millandy - Musique : Attilio Serpieri - Éditeur : Digoudé-Diodet (1905) Lorsque tu passas par un clair matin Le minois rieur, le regard mutin Attiré soudain par ton frais sourire Je pris malgré moi le même chemin Bientôt, gentiment, nous marchions tous deux Bras dessus dessous en vrais amoureux Ah, ce matin-là, qui m'aurait pu dire Qu'un jour je serais par toi malheureux ? Lorsqu'en riant je te jurais Que je t'aimais à la folie Qui m'aurait dit que tu tiendrais Autant de place dans ma vie ? Je m'amusais de mon serment Et ne pensais t'aimer qu'à peine Qui m'aurait dit qu'un jour pourtant Tu me ferais tant de peine ? Dans le vieux coffret, où, naïf amant Je les enfermais bien dévotement Je viens de trouver les jolis mensonges Que tu m’écrivais si sincèrement Et j’ai parcouru les papiers mignons Billets parfumés, précieux chiffons Et j’ai cru rêver quelques très vieux songes En retrouvant là mes illusions… Qui m’aurait dit qu’en les lisant Ces mots pourtant pleins de tendresse Je resterais indifférent Tout étonné de ma sagesse !… On souffre, on pleure… et puis, un jour De sa douleur le cœur se lasse… Qui m’aurait dit que tant d’amour Laisserait si peu de trace !… |
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