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Titre : | Le Paon ; acte 3 scène 14 : Tu n'as pas eu d'amant ! | ||||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Croisset, Francis de | ||||||
Interprète(s) : | de Féraudy, Maurice | ||||||
Genre : | Diction : théâtre | ||||||
Fichier audio : | |||||||
Photo(s) : | |||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | ||||||
Format : | Inter (enregistrement acoustique) | ||||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||||||
Numéro de catalogue : | 2855 | ||||||
Numéro de matrice : | 24928 ou 24128 | ||||||
Date de l'enregistrement : | 1904-1905 | ||||||
Instruments : | Déclamation, diction, monologue | ||||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | ||||||
État : | Exc++ | ||||||
Vitesse (tours/minute) : | 151 | ||||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz | ||||||
Date du transfert : | 12-10-2018 | ||||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Tirade de Boursoufle, acte 3 scène 14. Pièce créée à la Comédie-Française le 9 juillet 1904 | ||||||
Texte du contenu : | Le Paon, Francis de Croisset ;
dernière scène, acte 3 scène 14 : Tu n'as pas eu d'amant ! Tu n'as pas eu d'amant ! Ah ! Ce que je suis heureux ! Ah quel soulagement ! Annette, ma petite Annette est toujours sage. Elle est la même que j'ai trouvé au village ! Tu n'as pas eu d'amant ! j'aurais dû m'en douter ! Ah ! chère enfant ! Tu viens de me désenvoûter, Je te retrouve et je me retrouve. Allégresse ! Je ne pouvais aussi renier ma caresse ! Mon baiser chante encor dans ton coeur ingénu On ne peut m'oublier lorsque l'on m'a connu ! [...] Ah ! Que tu me comprends, chère petite femme, Et que tu lis avec indulgence en mon âme ! Mais va, tu m'as guéri, mort l'orgueil, morts les paons ! Je veux devenir simple. Enfin, je me repens. Tu vas voir. Venez tous, venez ! Je vous révèle La nouvelle du jour. Une grande nouvelle ! Vous m'avez reproché souvent ma vanité ? Je vais vous étonner par ma simpicité ! Car je sais être simple aussi, quoi qu'on en dise : Mesdames et messieurs, j'épouse Cydalise. [...] Oui, messieurs, Enguerrand de Boursoufle, Vidame, Écuyer et baron, prend pour compagne et dame, La petite Patu. Donc, messieurs, nous allons Nous marier en Brie, au son des violons Du village, en l'église où le curé bedonne, Sans faste, sans gala, sans pompe. J'abandonne La ville où j'étonnais la Cour et les Bourgeois. Je suis simple, messieurs, je deviens villageois. Et je compte sur vous. Lucinde, on vous invite Au mariage. Il sera simple. La petite Église toute blanche avec sa croix de buis Vous attend. Vous verrez : ce sera simple ! Et puis, Nous aurons des troupeaux de moutons, des génisses ! Du Virgile messieurs ! Bucoliques délices ! Les citadins viendront cueillir nos fleurs l'été. On parlera de mes bienfaits, de ma bonté. De ma simplicité proverbiale, immense... J'étonnerai... Ah pardon... c'est vrai ! Je recommence ! --- Texte complet : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5544493k/f210 |
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