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Titre : | La chasse |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Marinier, Paul |
Interprète(s) : | Mayol, Félix |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | APGA |
Numéro de catalogue : | 1212 |
Date de l'enregistrement : | 1906-1907 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
Vitesse (tours/minute) : | 78 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 3,5ET sur Shure M44G, Elberg MD13 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X, declick, decrackle |
Date du transfert : | 12-01-2023 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | La chasse
Création : Paul Marinier (1907 aux Noctambules et au Carillon) - reprises : Mayol, Jane Pierly Paroles et musique : Paul Marinier - Éditeur : Aux succès du XXe siècle (1907) Aux dernières ombres de la nuit Le brave chasseur part de chez lui Avec son fusil qui reluit Sans une tache Il va solide, calme et fier Tout en sifflotant un vieil air À la gloire de saint Hubert Dans sa moustache C'est pas un chasseur d'occasion Il a une arme de précision Un Garnier dernière invention Solide et lourde Sa gourde est pleine de fine liqueur Y a pas à dire, y a pas d'erreur On voit bien qu' c'est un vrai chasseur Et une vraie gourde Dans la gare, sitôt arrivé Il monte rapidement, au pied l'vé Dans l' compartiment réservé Pour les dames seules Qui, voyant le chasseur et son chien C't attirail gênant, ô combien ! En femmes bien él'vées, ne disent rien Mais font la gueu… la tête Le voilà dans les prés fleuris Y paraît qu' perdreaux et perdrix Y en a à n' savoir, rouges ou gris Par où les mettre Ah ! c' qu'il en voit, c'est suffocant Et tous gros comme des pélicans Malheureusement ils foutent le camp À trois mille mètres Sur la lisière de la forêt Circonstance pleine d'intérêt V'là son chien qui tombe en arrêt Plein d' frénésie S'il flaire ainsi, c'est pas pour rien Non, c'est tout bonn'ment qu'un autre chien A piss… a passé par-là Ça s' voit bien, ô poésie ! Ô bonheur ! soudain, tout réjoui Il voit un gros lapin d'vant lui Il épaule sans faire de bruit Un éclair brille Le coup part… le coup est parti Mais il s'aperçoit, tout saisi Que l' lapin est parti aussi Dans sa famille Comme il n' fait pas les choses à d'mi Son second coup, pan ! il l'a mis En plein dans l' derrière d'un ami Et, plein d' colère Il dit : Pour une fois que j' suis adroit Que j' touche quéqu' chose, voilà, ma foi Que j' peux pas l' rapporter chez moi Dans ma gib'cière Il rentre chez lui, vanné, mouillé Dans un état à faire pitié Et se couche auprès d' sa moitié Mais il bafouille Et murmure dans l'obscurité Ces mots : Tonnerre, Fatalité Zut ! v'là encore un d' raté Toujours bredouille ! |
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