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Title : | Le Tzar en Italie [Le Tsar en Italie] |
Composers and/or lyricists : | Marinier, Paul ; Denza, Luigi |
Performers : | Zip, M. [Léopold Postieau] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Zonophone (Gramophone) |
Catalogue number : | x282029 |
Matrix number : | 15496u |
Recording date : | 1910-01-10 |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 76,9 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2011-05-26 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Amitié Franco-russe. Sur l'air de 'Funiculi-Funicula…' dans la patrie de la Patti… Chérubini...de la charcuterie Olida… le gorgonzola devient gorgeon de Zola. Coquille : l'étiquette désigne Mayol comme auteur. |
Text or lyrics : | Le tzar en Italie
Paroles : Paul Marinier - Musique : Luigi Denza - Éditeur : Paul Marinier Le tzar, quand il mit pied dans la patrie De La Patti Ça l'épata ! Il vit des temples, des colonnes par séries Des colonies L' prince Colonna Il dit "Messieurs, nous sommes en Italie Rome est par-ci Pise est par-là" L' pays de la musique et d' l'harmonie Cherubini Cherubina Ah ah, ah ah, puis il s'écria Ah ah, ah ah, "Qu'est-ce que j' vois donc là ? Des mimosi Du mimosa" Il dit au douanier qu'était là "Prêtez-moi cent sous que j' m'achète un bouquet comme ça" Le roi vint au d'vant d' lui d' façon polie "Comment qu' ça vit ? Comment qu' ça va ? Lundi, t'as mangé sans cérémonie D' la charcut'rie Chez Olida" Dans le jardin la table était servie C' fut une orgie On but d' l'orgeat Au hors-d’œuvre il fit une mine épanouie Mais au rôti Il en rota Ah ah, ah ah, mangea du rôti Ah ah, ah ah, mangea du rata Mangea du riz Mangea du rat Du radadi Du radada Des pâtes d'Italie, des nouilles et du gorgonzola On lui présenta des femmes fort jolies Cavalieri Rusticana Le roi lui montre la princesse Amélie Sa sœur Sophie Sur un sofa Il la contemple d'une manière attendrie Ses yeux supplient Ses œufs su' l' plat La complimente sur sa coiffure jolie Ses p'tits chichis Son p'tit chapeau Ah ah, ah ah, puis il s'en alla Ah ah, ah ah, mais il emprunta Cent sous par-ci Dix francs par-là Disant à tous ceux qu'étaient là "N' craignez rien, oui-da ! C'est la France qui vous l' rembours'ra" |
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