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169 results found
Title : | Si les femmes savaient |
Composers and/or lyricists : | Maquis, Gaston ; Savoisy ; Héros, Eugène |
Performers : | Mercadier, Émile |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé (Lioret) boite Lioret |
Instruments : | piano acc. |
Color of the material : | marron inscriptions biffées |
Condition : | bon, montage |
Speed (rpm) : | 124 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe Edison elliptique |
Transfer date : | 2002-10-10 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Lioret (ou bien qui d'autre ?) a biffé les inscriptions Pathé sur le cylindre |
Text or lyrics : | Si les femmes savaient
Création : Mercadier au Concert Parisien, Albin Aigon à l'Eden Concert - reprises : Maréchal, Darthès Paroles : Eugène Héros, Savoisy (ou Jules Jouy ?) - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : Le Clavecin (vers 1900) Mercadier : C'est fini depuis hier soir Avec Thérèse Et nous ne devons plus nous voir, J'en suis bien aise… Mais non, car ses yeux étaient bleus, Sa taille exquise, Et quand je pense à ses cheveux, Cela me grise. {Refrain:} Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre, L'amour au lieu de s'envoler, Si l'on voulait toujours nous cajoler, Couverait longtemps sous la cendre. Pour l'enflammer, vous pensez bien Qu'il ne faudrait qu'un souffle, un rien. Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre. Elle est revenue à l'instant, Fort amoureuse, À part moi, j'étais très content, L'âme joyeuse, Pourtant j'ai voulu refuser, D'un ton farouche. De suite elle m'a d'un baiser [Maréchal : Mais elle m'a d'un baiser] Fermé la bouche ! {au Refrain} --------------------- Darthès : C'est fini depuis hier soir Avec Thérèse Et nous ne devons plus nous voir, J'en suis bien aise… Mais non, car ses yeux étaient bleus, Sa taille exquise, Et quand je pense à ses cheveux, Cela me grise. {Refrain:} Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre, L'amour au lieu de s'envoler, Si l'on voulait toujours nous cajoler, Couverait longtemps sous les cendres/ la cendre. Pour l'enflammer, vous pensez bien Qu'il ne faudrait qu'un souffle, un rien. Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre. On se disputait bien un peu, Non, j'exagère On se battait ; mais quand le feu De la colère Était passé, comme on s'aimait Avec ivresse Et comme alors on abusait De la jeunesse ! {au Refrain} |
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