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Title : | J'ai jamais tant rigolé |
Composers and/or lyricists : | Mario, Alcib ; Soulaire, Victor ; Seider, Charles |
Performers : | Dranem |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Dutreih |
Catalogue number : | 17 |
Matrix number : | 40983-gr |
Instruments : | monologue homme, piano acc. |
Condition : | Exc |
Speed (rpm) : | 82 |
Tools used for data transfer : | Stanton 150, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6k, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2022-03-14 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | J'ai jamais tant rigolé
Paroles : Charles Seider - Musique : Alcib Mario, Victor Soulaire Y a un tas d' gens sur la terre Qui n' savent pas comment s' distraire I's s' font sans cesse du mauvais sang Eh ben, moi, j' suis toujours content T'nez, l'autre jour, pour faire des conquêtes J'avais mis ma belle jaquette Sur le boul'vard j' marchais crân'ment En f'sant retourner les passants J'étais plus fier que l' shah d' Perse Mais voilà qu'i' tombe une averse J'ai eu mon vêt'ment tout trempé J'ai jamais tant rigolé ! Dans la rue, la s'maine dernière Je m' prom'nais, histoire de m' distraire J' suis renversé par un auto J' tombe su' l' ventre, i' m' grimpe su' l' dos J'étais là-d'ssous sans m' faire de bile Quand survint un sergent d' ville I' m'a dressé contravention Pour refus de circulation Puis i' m' dit : Qu'avez-vous à dire ? Je m' suis contenté d' sourire Pendant c' temps, l' chauffeur m'engueulait J'ai jamais tant rigolé ! Et puis, t'nez, la s'maine dernière J' prends l' métro, histoire de m' distraire Ces machines-là, c'est drôl'ment fait On vous dit jamais qu' c'est complet J'étais serré comme une sardine Entre deux femmes à grosse poitrine Vous auriez trouvé l' temps long Enfoui sous leurs quatre nichons Mais comme les bains d' vapeur m' dégoûtent J'étais bien là pour suer à grosses gouttes J'en suis même sorti étouffé J'ai jamais tant rigolé ! L'autre jour, j' cherchais comment faire Pour continuer à m' distraire Eh ben, chez une femme qui m' f'sait d' l’œil J' suis monté, oh ! quel accueil ! Doux Jésus ! que m' dit la belle Ôte donc ton gilet d' flanelle Je m' disais : Pour le remplacer Mon Dieu, que va-t-elle me donner ? J' sais pas la blague qu'elle m'a faite Moi qu'avais une santé parfaite Depuis, j' suis toujours enrhumé Oh ! j'ai jamais tant rigolé ! |
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