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Title : | Cinq minutes chez Bruant |
Composers and/or lyricists : | Bruant, Aristide |
Performers : | Bruant, Aristide |
Content type : | Scène descriptive |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Odeon International talking machine Co.m.b.H. |
Catalogue number : | 60854-2 |
Recording date : | 1908-06-xx |
Speed (rpm) : | 77 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2010-06-13 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Cinq minutes chez Bruant
- Et ben, bon Dieu, c’te fois-ci v’là du linge. C’est pas de la rinçure de bidet. C’est d' la gerce, et d' la belle ! Deux chouettes petites sœurs avec un ambassadeur, un miché ou un voleur. À nous les chœurs : Oh la la, c’te gueule, c’te binette Oh la la, c’te gueule qu’elle a Oh la la, c’te gueule, c’te binette Oh la la, c’te gueule qu’elle a - Par ici mes p’tites chattes, mettez vot’ cul là - Monsieur Bruant, y a plus de place - Il y a toujours de la place - Tu m’en enverras trois caisses - La ferme, toi, salaud ! Et toi, Gourdiflot, viens par ici avec tes deux bergères. Maxime, foutez trois bocks et un galopin que j’ trinque à la santé des poules de Gourdiflot [Bruits de casse] - Ça n' fait rien, ici on paye pas la casse. À la tienne mon salaud, paraît qu’on n' se refuse rien dans ta famille. C’est à toi ces deux ponettes-là ? - Monsieur fait l’homme-sandwich, i' promène sa bidoche entre deux tableaux - Oui, il a pris deux gonzesses pour être plus sûr d’être cocu - Taïaut ! Taïaut ! Taïaut ! - Tas de chameaux, vous allez taire vos gueules ! J’vas vous chanter Les p’tits joyeux. Et tâchez de r’prendre au refrain si vous en êtes capables, tas de propres à rien, tas de saligots ! C’est nous qu’on voit passer avec des nœuds d' cravate Des bleus, des blancs, des rouges, et des couleurs d’cocu Et si nos p’tites gonzesses traînent un peu la savate, Nous avons des pantoufles pour leur z'y foutre dans le cul. C’est nous les joyeux, les petits joyeux, Les petits marlous qui n’ont pas froid aux jambes C’est nous les joyeux, les petits joyeux, Les petits marlous qui n’ont pas froid aux yeux - Bravo, bravo, bravo ! - Messieurs, un ban pour le patron et qu’ ça pète ! Un, deux, trois, quatre, cinq, Un, deux, trois, quatre, cinq, Un, deux, trois, quatre, cinq, Un, deux, trois, ah, ah, ah - On a frappé. Qu’est-ce qui nous arrive ? C’est un vieux maquereau qui vient ici pour dessaler son fils. Maxime, foutez-les à l’institut et donnez un seau d’eau à monsieur pour tremper la tronche à son lardon. Attention, Messieurs, un départ, monsieur Gourdiflot se fait la paire avec ses deux pétasses. Bonsoir, Arthur, à la r'voyure. À toi l' bonheur, à nous les chœurs : Tous les clients sont des cochons, la faridondon, la faridondaine Tous les clients sont des cochons, la faridondaine, la faridondon Et surtout les ceux qui s’en vont, la faridondon, la faridondaine Et surtout les ceux qui s’en vont, la faridondaine, la faridondon - Et maintenant, il est deux heures, sortez les volets, rentrez la terrasse et foutez les clients à la porte à coup de bottes dans le cul ! - Ah, non, non, non, non… - Nom de Dieu, voulez-vous me foutre le camp, tas de soûlots ! - C’est bon, c’est bon, on s’en va, au revoir, Bruant. - Bonsoir, Monsieur Bruant. - Au revoir, tas d' veaux, bonsoir à vos punaises. Vous viendrez encore m’emmerder d'main soir, n’est-ce pas, tas de cochons ! |
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