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Titre : | Stances |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Flégier, Ange ; Loviot, Ferdinand |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Mélodie de concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 en 2 parties (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
Vitesse (tours/minute) : | 111 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 18-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. |
Texte du contenu : | Stances de Flégier
Paroles : Ferdinand Loviot - Musique : Ange Flégier - Éditeur : Émile Gallet Quelquefois en levant les yeux J'aperçois au ciel une étoile Qui semble pudique et qui voile Ses rayons plus mystérieux J'éprouve souvent un tel charme Devant ton humide clarté Qu'il m'en vient alors une larme De tristesse et de volupté Ma belle est douce et caressante Comme cette étoile, sa sœur Elle a l'âme compatissante Et je l'aime pour sa douceur Ah, je l'aime, Je l'aime Je l'aime pour sa douceur Comme l'abeille aime la fleur L'exilé sa mère patrie Le poète sa rêverie Et le malheureux sa douleur Comme un cerf aime la rivière Où sa soif se peut apaiser Comme la mousse aime la pierre Et la lèvre aime le baiser J'aime ma divine maîtresse Gaie ou songeuse tour à tour Je l'aime pour ma folle ivresse Et je l'aime pour son amour Je l'aime, je l'aime, je l'aime pour son amour |
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