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Title : | Carmela |
Composers and/or lyricists : | Tagliafico, Joseph Dieudonné ; de Curtis, Giambattista |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Content type : | Mélodie de concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Lioret |
Catalogue number : | 8 |
Recording date : | 1899-1901 |
Condition : | bon |
Speed (rpm) : | 120 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 1998-12-06 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Maison de la radio, discothèque centrale. Chant a capella. Mélodie de concert. Carméla, chanson sorrentine |
Text or lyrics : | Carmela
Chanté par Gabriel Soulacroix (1904), Dulac, Louis Lynel, Robert Marino - Paroles : Joseph Tagliafico - Musique : Giambattista de Curtis - Éditeur : Léon Langlois - Paris (1895) Dans Sorrente, il est une fillette D’aussi belle, on n’en voit pas ailleurs Mais n’ayant pour dormir, la pauvrette Que l’abri des orangers en fleurs {Refrain :} Dors, ma Carmée, il est bon de dormir dans la vie Dors en rêvant à qui veille dans l’ombre sur toi Dors, ma Carmée, l’air est doux, le ciel bleu, ma jolie Dors en rêvant et surtout si tu rêves à moi Le matin, s’en allant par la plaine Elle chante un refrain du pays Qu’elle dise sa joie ou sa peine On croirait un chant du paradis {Refrain :} Chante, Carmée, tout se tait et ta voix est divine Chante toujours pour celui qui n’écoute que toi Chante, Carmée, l’amoureuse chanson sorrentine Chante toujours ; si j’en meurs, eh bien, tant pis pour moi [Soulacroix : tant pis pour toi] Mais qui donc la fillette aime-t-elle ? Est-ce quelque vaillant sans pareil À mener le soir la tarentelle À dormir le jour en plein soleil ? {Refrain :} Aime, Carmée, comment ne pas aimer sur la terre ? Aime toujours, du seigneur, c’est la loi, c’est la loi Aime, Carmée, et n’importe qui ton cœur préfère Aime toujours même si c’est un autre que moi |
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