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Title : | Les Cloches de Corneville ; je regardais en l'air | |||||||
Composers and/or lyricists : | Planquette, Robert ; Clairville [Louis-François-Marie Nicolaïe] ; Gabet, Charles | |||||||
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) | |||||||
Content type : | Opéra-comique | |||||||
Audio file : | ||||||||
Images : | ||||||||
Recording medium : | Cylindre | |||||||
Format : | Lioret n°4 en 2 parties (enregistrement acoustique) | |||||||
Recording location : | Paris, France | |||||||
Manufacturer, label : | Lioret | |||||||
Recording date : | 1899-1901 | |||||||
Instruments : | chant homme a cappella | |||||||
Speed (rpm) : | 100 | |||||||
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe 78 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||||
Transfer date : | 2021-05-07 | |||||||
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Note manuscrite de Jean Nirouet au crayon sur papier libre. | |||||||
Text or lyrics : | Les cloches de Corneville ; je regardais en l'air
Création : Simon-Max (1877 aux Folies-Dramatiques) - Paroles : Clairville, Charles Gabet - Musique : Robert Planquette Je regardais en l’air Une jeunesse dégringole Et vite, au fond d’la mer J’fais la même cabriole Nous barbotions tous deux Tout à coup, par les ch’veux J’la saisis quand elle passe Voyez mon embarras Je nageais d’un seul bras Quand Germaine m’enlace Plus je fais le plongeon Plus elle se cramponne Et moi, dans son jupon, dans son jupon Voilà que j’m’enjuponne Sans vouloir la lâcher De rocher en rocher Je suis le flot qui me soulève Quand fort heureusement Mais très brutalement Le flot nous jette sur la grève Alors, quoiqu’éreinté Vite, vite, je la délace Et vous auriez été Bien heureux à ma place Son sein se soulevait Que dire davantage Bref, Germaine devait La vie à mon courage Oui, Germaine enfin devait La vie à mon courage ! |
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