Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
1820 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 480 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1820 |
Titre : | La Balance automatique |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Delormel, Lucien |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1840—14 |
Instruments : | piano |
Couleur de la pâte : | marron |
État : | tbon |
Vitesse (tours/minute) : | 130 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 28-09-2004 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. David Winter. |
Texte du contenu : | La balance automatique
Création : Polin (1893) - reprises : Charley, Maty, Grisard, Pontis, Paul Lack, Dullac Paroles et musique : Lucien Delormel La partition : Avec mon caporal Bidoche J' flânais à la foire de Saint-Cloud Comme Bayard sans peur et sans reproche Lorsque voilà que tout à coup Il me vient l'idée magnifique Pour voir mon poids de m' peser sur Une balance automatique Qu'était dressée le long d'un mur Je glisse deux sous dans la p'tite fente Je grimpe sur le p'tit plateau Et je vois l'aiguille qui se plante Sur quatre-vingt-quatorze kilos Je m' croyais pas si lourd, c'est drôle Bidoche me dit "C'est ton schako T'as tort de l' garder sur ta fiole C'est ça qui augmente les kilos" Tiens, c'est vrai, faut-y que j' sois bête Moi qui m'en apercevais pas J'ôte mon schako de dessus ma tête Et je le mets dessous mon bras Je reglisse deux sous dans la p'tite fente Je regrimpe dessus le p'tit plateau Quand je vois l'aiguille qui se replante Sur quatre-vingt-quatorze kilos "Ah ben, que j' dis, elle est mauvaise" Mais Bidoche me dit "Mon pauvre gros C'est sûrement ta chaussure qui pèse Il faut retirer tes godillots" Tiens, c'est vrai, faut-y que j' sois boche Je retire ma paire de rigodons Et je les fourre dans ma poche Par derrière sous mon ceinturon Je reglisse deux sous dans la p'tite fente Je regrimpe dessus le p'tit plateau Mais je vois l'aiguille qui se replante Sur quatre-vingt-quatorze kilos "Ça, que j' dis, c'est z-hyperbolique" Mais Bidoche il m' dit "Mon cochon Faudrait que tu retires ta tunique Ton sabre et puis ton pantalon" Je retire tout ça mais qué déveine Voilà qu'à deux pas devant moi Je vois soudain mon capitaine Qui me fixait avec émoi Puis il m' crie en regardant mes quilles "Qu'est-ce que vous fichez espèce d'idiot À faire le génie d' la Bastille En chemise au milieu de c' plateau ?" J' lui dis "J'ai mis dans la p'tite fente Alors, mon cap'taine, v'là c' que c'est" "C'est bon, qu'i fait d'une voix tonnante Vous m' ferez huit jours ! Allez, rompez !" Ah, potence, en v'là une affaire ! Quand on m'y repincera sur l' plateau Sacré fourbi de mon derrière Tu verras, mon vieux, si fera chaud ! |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |