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Titre : | La coupe du roi de Thulé ; arioso : il est venu ce jour de lutte et de colère […] il aurait dû ton amour dédaigner |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Diaz de la Peña, Eugène-Émile |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Opéra |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Inter (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 32 |
Numéro de matrice : | 1078 |
Date de l'enregistrement : | 1902-1903 |
Instruments : | piano |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 160 finalement c'est mx ici |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 19-06-2004 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | La coupe du roi de Thulé ; il est venu ce jour de lutte et de colère
Création : Jean-Baptiste Faure (1873 à l'Opéra de Paris) - Paroles : Louis Gallet, Édouard Blau - Musique : Eugène-Émile Diaz de la Peña - Éditeur : Léon Grus, Paris Il est venu ce jour de lutte et de colère Que ma haine attendait ! Débattez-vous, débattez-vous, Seigneurs ! Gronde, flot populaire Mon cœur est satisfait Oui, mon œuvre commence Ici l'on se dispute, on menace là-bas Mais toi, pauvre Yorick, tu ne le verras pas L'instant promis à la vengeance [Paul Aumonier : Mais non, j'ai tort, j'ai tort, il vaut mieux qu'il nous quitte] Il aurait vu son amour dédaigné Et les destins ont bien fait toute chose Il eût souffert et son cœur eût saigné Loin des méchants maintenant il repose Dans la paix, dans l'azur, dans l'espace infini Il va dormir heureux, souriant et béni Oui, oui, dans l'espace infini Il va dormir heureux, souriant et béni ! Oui, les destins ont bien fait toute chose Et loin de nous maintenant il repose Dors à jamais dans l'espace infini Ah ! dors à jamais souriant et béni |
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