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Titre : | C'que tu m'as fait |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène ; Christien, Eugène |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 2142 |
Numéro de matrice : | 20942 |
Date de l'enregistrement : | 1908 |
Instruments : | chant homme , piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 90 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 19-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | C'que tu m'as fait
Création : Polin (1907) - reprises : Fréjol (1907), Karl Ditan (1908), Charlus, René Koval (1934) Paroles : E. Rimbault, E. Christien - Musique : H. Christiné - Éditeur : Christiné Charlus : Elle était vendeuse dans un grand magasin Où j’étais v’nu faire des achats l’autre matin Je lui dis : Mad'moiselle, c’est des gants qu’i’ m’faut [Fréjol : Je lui dis : Mam'zelle, c'est des gants qu'i' m'faut] Mais j’me rappelle plus mon numéro Elle m’dit d’une voix pure : – J’vais vous prendre la m’sure Est-ce des gants pour la ville ou pour le matin ? Puis d’ses p’tites menottes La v’là qui m' tripote Moi, ça m’chatouillait la main Ça m’troublait tellement qu’j’y réponds : Ma foi C’est surtout des gants pour mettre mes doigts {Refrain :} Ah ! j’sais pas c’que tu m’as fait Est-ce ta main qui m’fait d' l'effet ? [Fréjol : Est-ce ta main qui m' fait c't effet ?] Voilà plusieurs paires que tu m’fais essayer J’peux pas arriver À les enfiler Elle m’répond avec douceur : – Tu n’sais pas t’y prendre, farceur Quand on essaie quéqu’ chose pour la première fois Ça paraît toujours un peu étroit [Fréjol : Ça sembl' toujours un p'tit peu étroit ] T’as plus besoin d’rien ? me dit-elle sans façon J’y réponds : J’voudrais de l’odeur qui sente bon [Fréjol : Je voudrais de l'odeur qui sent bon] Celle qu’les femmes du monde mettent dans leur baignoire Moi, ça s’rait pour mettre dans mon mouchoir Elle m’fait : J’ai quéqu’ chose Qui détrône la rose D’la vraie peau d’Espagne, tu sais, ça vient d’Madrid ! Puis sans plus d’ambages Ouvrant son corsage Elle m’fait : Sens-moi ça, mon p’tit ! Ben ! qu’est-ce que t’en dis ? Moi, l’cœur tout ému J’dis : J’rest’rais bien toute ma vie l’nez d’ssus ! {Refrain :} Ah ! j’sais pas c’que tu m’as fait Est-ce de sentir ton corset ? Est-ce la peau d’Espagne ou celle de tes seins blancs ? Quel parfum troublant ! Ah ! oui, donne-moi-z-en Elle m’dit : En veux-tu beaucoup ? Ça coûte cher, tu sais, mon loup Montrant ses nénés, j’y ai répondu tout bas : – J’en voudrais deux flacons dans c’genre-là Bref, comme on s’plaisait, ensemble on a dîné Puis, après l’repas, chez elle on est allé [Fréjol : Et après l' repas, chez elle on est allé] Y avait le dodo qui nous tendait les bras J’y ai rentré pour pas faire d’embarras Après j’sais plus guère La suite de l’affaire Je perds la mémoire en ces genres d’occasions Ça d’vait être cocasse Tout ça, je l’remplace Par plusieurs points d’suspension N’empêche que l’lend’main, en m’éveillant, j’dis Regardant ma camarade de lit : [Fréjol : En r'gardant ma camarade de lit :] {Refrain :} Ah ! j’sais pas c’que tu m’as fait Mais je m’doute bien de c’que c’est J’ai rêvé qu’j’étais un papillon, ma foi Toi, une fleur des bois J’me posais sur toi [Fréjol : Je m' posais sur toi] – Ah ! qu’e’ m’dit, ça, c’est gentil Rêve donc encor comme cette nuit ! J’y réponds : J’veux bien, mais à une condition Cette fois, c’est toi qui f’ras l’papillon ! |
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