Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
2986 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 1964 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 2986 |
Title : | Les réponses imprévues |
Composers and/or lyricists : | Spencer, Émile ; Lemercier, Eugène |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Catalogue number : | 2100 |
Matrix number : | 12911-PC |
Recording date : | 1907 |
Instruments : | chant homme , piano acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 91 |
Tools used for data transfer : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2022-03-18 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Les réponses imprévues
Paroles : Eugène Lemercier - Musique : Émile Spencer - Éditeur : Pathé frères (1905) Création : Eugène Lemercier Par une saison brûlante Un cactus était en fleurs Tous les cent ans, cette plante Fleurit durant les chaleurs Un jardinier, âme franche Lui disait en l'abreuvant : Tu peux fleurir, ma vielle branche Ça n' t'arrive pas si souvent Le cactus répondit : Je comprends qu' ça t'épate Car s'il faut cent années pour que ma fleur éclate Toi, pour te voir éclore, i' n' faut pas si longtemps Les boutons qu' t'as su' l' nez fleurissent tous les printemps Un candidat plein de grâce Disait dans une réunion : Si mon parti m'embarrasse Eh bien, j' chang'rai d'opinion S'il faut en croire les gazettes Lui dit quelqu'un en se l'vant Tu f'rais mieux d' changer d' chaussettes Ça n' t'arrive pas si souvent L' candidat répondit : Je souhaiterais que tu pusses Envelopper comme moi tes pieds de chaussettes russes Mais si tu les changeais deux ou trois fois par jour Ça n' les empêch'rait pas d' sentir le romadur Certain soir, un pique-assiette Disait à la fin d'un r'pas La bouche dans sa serviette : C'est drôle, mon dîner n' passe pas Ton dîner ? dit d'un air tendre L’amphitryon, bon vivant Ne t' gêne pas, tu peux me l' rendre Ça n' t'arrive pas si souvent L'invité répondit : Patientez, de grâce Avec de l'eau d' mélisse, i' s' peut qu' mon dîner passe Faites-moi dormir chez vous pour digérer c' festin Et si vous êtes pressés, j' vous l' rendrai d'main matin Sur le crâne d'un homme chauve J' colle un plat d' raie au beurre noir Puis, ne croyez pas qu' j' me sauve Non, je m' saisis d'un miroir Et dis au vieux qui tempête : Contemple-toi, t'es crevant Avec une raie sur la tête Ça n' t'arrive pas si souvent L'homme chauve répondit : À la fin, c'est une scie ! Va-t-on m' ficher la paix avec ma calvitie ? Je devrais être plaint et non pas être scié Vous n' savez donc pas c' que c'est un homme calvitié |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |