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Title : | Le pauvre ouverrier | ||||
Composers and/or lyricists : | Delormel, Lucien ; Poncin, Eugène ; Delormel, Lucien ; Jouy, Jules | ||||
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] | ||||
Content type : | Café-concert | ||||
Audio file : | |||||
Images : | |||||
Recording medium : | Cylindre | ||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | ||||
Recording location : | Paris, France | ||||
Manufacturer, label : | Pathé | ||||
Catalogue number : | 1812 | ||||
Instruments : | piano acc. | ||||
Condition : | Exc, nasille | ||||
Speed (rpm) : | 160 | ||||
Tools used for data transfer : | Archeophone, pointe Pathé 8.0 sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 4kHz, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||||
Transfer date : | 2012-09-14 | ||||
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Lutte des classes. Le pauvre ouvrier | ||||
Text or lyrics : | Le pauvre ouverrier
Création : Maurel (1894 à l'Alcazar d'Eté) - reprises : Gabin, Jacquet à l'Horloge, Perrier aux Ambassadeurs, Grisard, Charlus, Pierre Valray Paroles : Lucien Delormel, Jules Jouy - Musique : Eugène Poncin Quand j'pense qu'il y a des gens qu'a d'la richesse Qui restent dans leur lit Jusqu'à près de midi Tandis qu'de pauvres ouverriers en détresse Sont déjà d'puis l’matin Debout chez le chand d'vin ! Moi, brave citoyen Ça me tue d'faire rien : Foi d'Ugène J'ai pas d'veine… En gros, en détail J'adore le travail J'resterais un jour entier À r'garder travailler {Refrain :} Je suis un pauvre ouverrerier Qui cherche tout l'temps à travailler Mais, par un singulier hasard J'arrive, hélas ! toujours trop tard J'ai travaillé dans des maisons huppées Chez de grands confiseurs À des métiers flatteurs Je suçais les pralines qu'étaient manquées Pour ravoir proprement Les amandes qu'étaient d'dans J'ai massé dans les peaux J'ai fait dans les chapeaux Dans la plume Et l'costume J'ai fait dans le bois J'ai fait dans les anchois Enfin, bref, peu ou prou J'ai fait un peu partout {au Refrain} J'fus scieur de long dès ma plus tendre enfance J'avais pour ce métier Un goût très singulier Dans tous les lieux j'sciais avec abondance Chacun était ravi En r'gardant mes produits J’ai scié pendant dix ans Dans les départements À Grenelle La Chapelle J'ai scié dans Paris J'ai scié dans le Midi J'voudrais bien encor scier Mais j'n'trouve plus d'chantier {au Refrain} Mon ambition, faut que j'vous la décline C's'rait d'être un homme public Ça au moins, c'est très chic Ma femme aussi, elle s'rait une femme, pardine ! Puisque je l'serais, en c'cas Pourquoi qu'elle le s'rait pas ? J'prendrais comme turbin La partie des pots-d'-vin À la douce Sans secousse Car j'suis, pauvre bébé V'nu au monde fatigué Vu qu'papa n'me donnait À téter qu'ses doigts d'pied {au Refrain} |
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